ResumoIntrodução: a criação do Sistema Nacional de Sangue, Componentes e Derivados e da Política Nacional de Sangue, Componentes e Hemoderivados, foi fundamental para a mudança de paradigma relacionada à doação de sangue no Brasil, mas, apesar disso, o percentual de doares voluntários de sangue no país continua abaixo do recomendado por Organismos Internacionais, resultando no baixo estoque de sangue nos hemocentros em todo país. Objetivo: sistematizar o conhecimento da literatura nacional e internacional sobre os principais fatores decisivos e estratégias para captação e manutenção de doadores de sangue em serviços de hemoterapia. Metodologia: trata-se de estudo com abordagem exploratória e qualitativa que considerou artigos científicos nas bases de dados Scielo, Lilacs e Vérsila Biblioteca Digital, publicados entre os anos de 2005 a 2015, bem como documentos e experiências que descrevessem fatores envolvidos na decisão de doação sanguínea e que apontassem estratégias desenvolvidas em âmbito nacional, estadual, regional ou municipal. Resultados: na literatura, evidenciou-se que fatores contextuais externos e internos relacionados ao doador influenciam o processo decisório de doação sanguínea. Observou-se que diversas estratégias vêm sendo empregadas em diversas regiões do país, como a implementação de tecnologias comunicacionais em diversos hemocentros e o desenvolvimento de ações intersetoriais entre a saúde e a educação para a captação de indivíduos para a doação de sangue. Conclusão: estratégias realizadas a partir de tecnologias comunicacionais produzem resultados favoráveis à divulgação de informações sobre o ato de doação de sangue. Assim, reforça-se a necessidade de realização de estudos de implementação dessas tecnologias e seus efeitos no processo de doação de sangue. Palavras chaves: Serviço de Hemoterapia. Doadores de Sangue. Estratégias.
Abstract
Introduction: the creation of the National Blood System, Components and Derivatives and National Blood Policy, Components and Blood Products, was instrumental in the paradigm shift related to blood donation in
RÉSUMÉDe 19 68 à 1970 , nous avons étudié la composition ainsi que l'ingestibilité (c'est-à-dire la quantité de matière sèche volontairement ingérée) et la digestibilité chez le mouton de 66 ensilages de
Un foin tardif de prairie naturelle et une paille de blé ont été traités, sous bâche, soit avec de l'ammoniac (3 p. 100), soit avec de l'urée (5 p. 100). Les fourrages non traités et traités ont été ensuite distribués à des moutons normaux ou fistulisés du rumen. Avec la paille de blé non traitée, les moutons ont reçu en outre 100 g de tourteau de soja par jour. Le traitement à l'ammoniac a permis d'augmenter nettement la teneur en MAT des fourrages (+ 85 et + 60 g/kg de bIS), les quantités ingérées (+ 26 et + 9 p. 100) et la digestibilité de la matière organique (- !-7,9 et + 7,7 points). Par contre le traitement à l'urée n'a pas été efficace. La teneur en MAT des fourrages a augmenté (+111 et-f-48 g/kg de MS) mais les quantités ingérées ont diminué de 17 p. 100 pour la paille et la digestibilité de la matière organique n'a pas été modifiée. Cela est dû principalement au fait que l'urée ne s'est pas suffisamment transformée en ammoniac (19 p. 100 seulement en moyenne pour les 2 fourrages). Avec le foin, les traitementssurtout celui à l'ammoniacont abaissé l'activité cellulolytique dans le rumen. Curieusement on a observé l'inverse avec la paille. Le traitement à l'ammoniac a eu pour conséquence une baisse de la rétention azotée par les animaux. Il semble donc bien que la valeur azotée des fourrages traités à l'ammoniac, malgré un apport important d'azote, soit relativement faible, mais la dépression de l'activité cellulolytique entraînée par le traitement n'est peut-être pas systématique. Le traitement à l'urée, dont l'étude se développe par ailleurs et qui donne de bons résultats, devra être adapté à nos fourrages et à nos conditions de traitement. Allots clés : F'oin, paille, traitenzent à l'ammoniac, valeur alin2entaire, rétentiom azotée.
RésuméDans 3 essais avec des fourrages pauvres (un foin de graminées tardif, une paille de blé et une paille de riz) nous avons comparé les effets d'un traitement à la soude avec ceux d'un traitement à l'ammoniac anhydre. Le Le traitement à l'ammoniac a augmenté fortement la teneur en matières azotées non digestibles des fourrages (+ 22 g/kg MS). De même, le concentré « maïs » a augmenté légèrement cette teneur par rapport au concentré « pulpe ». Par contre, la rétention d'azote par les animaux a été plus élevée, pour la ration a base de paille de blé, lorsque celle-ci avait été traitée à la soude.Pour cette ration, à base de paille de blé, la concentration en acides gras volatils dans le rumen a été plus élevée avec le traitement à la soude que celui à l'ammoniac (88 contre 78 mmoles/litre). A l'inverse, celle en NH 3 a été la plus élevée avec la paille traitée à l'ammoniac (25 mg/100 ml), sans que les concentrations soient dangereuses, et la plus faible avec la paille traitée à la soude (12 mg/100 ml).Les traitements de la paille, surtout celui à l'ammoniac, ont abaissé l'activité cellulolytique de la microflore ruminale des moutons.Tous ces résultats sont discutés. Malgré une très légère infériorité par rapport au traitement à la soude au niveau de la valeur alimentaire, le traitement à l'ammoniac permet une amélioration notable des fourrages pauvres. La question de la valeur azotée des fourrages traités ainsi demeure cependant posée ainsi que le problème de la signification de la faible activité cellulolytique induite par leur ingestion.
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