We investigate co-operative innovative activity in four major European countries, France, Germany, Spain and the UK, using internationally comparable firm-level data for manufacturing and service sectors. We examine the roles of knowledge flows, cost- and risk-sharing and public financial support in firms' decisions to collaborate. Our results suggest that firms which place greater value on external information flows are more likely to co-operate with the research base than with other firms and that firms facing appropriability problems are more likely to co-operate with the research base and with upstream and downstream firms than with direct competitors. We find evidence for Spain to suggest that firms collaborate to overcome risks and financial constraints. We also find that receipt of public support is positively related to undertaking collaborative innovation. In line with the focus of policy, this relationship is strongest for co-operation with the research base.co-operative innovation, spillovers, joint ventures,
and the Banque de France conference on Firms' financing and default risk during and after the crisis, Paris, February 2012), for their comments.1 Résumé : Cet article étudie l'accès des PME françaises indépendantes au crédit bancaire. Il vise notamment à déterminer si l'évolution observée du crédit bancaire pendant les années récentes a résulté d'une baisse de la demande de crédit consécutive au ralentissement de l'activité des entreprises et de leurs projets d'investissement ou plutôt d'une diminution de l'offre, traduisant alors un rationnement du crédit lié à un comportement plus prudent des banques en matière d'octroi de crédits. A partir de l'analyse d'un échantillon comportant environ 60,000 PME, nous aboutissons à la conclusion que, malgré un comportement plus restrictif des banques, les PME françaises n'ont pas souffert d'un rationnement marqué du crédit depuis 2008. La demande est la cause essentielle de la baisse observée des crédits aux PME. Ce résultat, qui va à l'encontre du discours selon lequel les PME auraient souffert d'un fort rationnement du crédit pendant la crise, est confirmé par les résultats de diverses enquêtes françaises et européennes menées récemment sur l'accès des PME au crédit bancaire.Mots-clés : Rationnement du crédit, modèle de déséquilibre, PME.Abstract : This paper focuses on the access of independent French SMEs to bank lending and analyzes whether the observed evolution of credit to SMEs over the recent period was "demand driven" as a result of the decrease in firms' activity and investment projects or was "supply driven" with an increase in credit "rationing" stemming from a more cautious behavior of banks. Based on a sample of around 60,000 SMEs, we come to the conclusion that, despite the stronger standards used by banks when granting credit, French SMEs do not appear to have been strongly affected by credit rationing since 2008. This result goes against the common view that SMEs suffered from a strong credit restriction during the crisis but is perfectly in line with the results of several surveys about the access to finance of SMEs recently conducted in France.
We are grateful to Dominique Foray and Fred Gault for encouraging us strongly to perform this study, and we thank SESSI ("Service des Etudes et Statistiques Industrielles") for giving us access to the French CIS3 data. We have also benefited from comments by Rachel Griffith,
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‡ The views expressed in this paper do not necessarily reflect those of the Banque de France. We would like to thank the anonymous referee as well as René Garcia and Timo Wollmershäuser for their helpful comments and suggestions.
Nettoyage de fichiers dans le cas de données individuelles : recherche de la cohérence transversale par Elizabeth Kremp avoir précisé les notions de valeurs aberrantes et de valeurs extrêmes, cet article rappelle les outils statistiques et présente différentes univariées permettant d'identifier ces valeurs. Huit techniques construites à partir de ces outils et de ces méthodes sont ensuite sur un fichier de données d'entreprises pour un ratio. Un des enseignements de ces tests est qu'il faut utiliser des statistiques robustes les méthodes cherchant à identifier les points aberrants. Ensuite, l'application de trois de ces techniques à sept ratios, permet de les d'évaluer le rôle du choix des ratios et de mesurer les phénomènes cumulatifs d'élimination d'observations. Deux d'entre elles des résultats très proches. La plus simple à mettre en œuvre supprime les observations situées à plus de trois intervalles du premier et du troisième quartiles. Cependant, si la distribution de la vraie population pour la variable étudiée est très d'une distribution normale, alors cette technique peut conduire à éliminer trop d'observations, et une variante qui supprime les à plus de cinq intervalles interquartiles semble préférable.
[fre] Entre 1987 et 1995, les taux d’endettement des entreprises industrielles françaises et allemandes présentent deux différences importantes. Au cours de cette période, ce taux connaît une forte baisse en France alors qu’il est relativement stable en Allemagne. Le taux d’endettement diffère peu selon la taille de l’entreprise en France, tandis que les écarts sont significatifs entre celui des petites entreprises allemandes et les plus grandes qui ont un endettement nettement plus faible. Au-delà de ces différences, qui peuvent s’expliquer par un contexte institutionnel distinct, une analyse économétrique des déterminants microéconomiques du comportement d’endettement des entreprises françaises et allemandes met, cependant, en évidence une grande similitude de ces déterminants à court terme dans les deux pays. Ainsi, les entreprises en forte croissance ont des besoins de financement externe importants, ce qui implique une corrélation positive entre le niveau d’endettement et la croissance. En revanche, la corrélation est négative entre le profit et la dette si l’on considère que les entreprises préfèrent s’autofinancer, notamment pour les plus petites d’entre elles qui accéderaient plus difficilement aux capitaux extérieurs. Le coût de financement a aussi un impact négatif sur la dette, et, dans les deux pays, l’effet est plus fort pour les grandes entreprises qui sont plus sensibles au coût de la dette puisqu’elles ont davantage de possibilités de financement. [spa] Entre 1987 y 1995, las tasas de endeudamiento de las empresas industriales francesas y alemanas presentan dos diferencias relevantes. En el periodo, esta tasa sufre una fuerte baja en Francia pero sigue bastante estable en Alemania. La tasa de endeudamiento difiere poco segun el tamano de la empresa en Francia, mientras que las diferencias son fuertes entre la de las pequenas empresas alemanas y las mayores que tienen un endeudamiento mucho mas bajo. Mas alla de las diferencias, que pueden explicarse por un contexto institucional distinto, un analisis econométrico de los determinantes microeconomicos dei comportamiento de endeudamiento de las empresas francesas y alemanas pone sin embargo de manifiesto una gran similitud de estos determinantes a corto plazo entre ambos paises. Asi, aquellas empresas en fuerte crecimiento tienenunas. necesidades de financiacion externa importantes, lo cual implica una correlacion positiva entre el nivel de endeudamiento y el crecimiento. En cambio, la correlacion es negativa entre las ganancias y la deuda si. se considera que las empresas, sobre todo aquellas mas pequenas cuyo acceso a los capitales exteriores serra mas diffcil, prefieren autofinanciarse. El coste de financiacion tiene también un impacto negativo sobre la deuda, y, en ambos paises, el efecto es superior para las grandes empresas sensibles al coste de la deuda, ya que tienen mayores posibilidades de financiacion. [ger] Zwischen 1987 und 1995 weisen die Verschuldungsgrade der französischen und der deutschen Industrieunternehmen bedeutende Unterschiede...
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