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Retrovesical location of hydatid cyst is rare and treatment is primarily surgical.

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Abbreviations & Acronyms Objectives:To assess bacillus Calmette-Guérin maintenance treatment schedule for nonmuscle invasive bladder cancer at 2 years, using one-third of the full dose and fewer instillations every 3 months or 6 months. Methods: This was a prospective, randomized, multicenter study. All patients had an intermediate-or high-risk non-muscle invasive bladder cancer. They received three weekly instillations of one-third dose bacillus Calmette-Guérin every 6 months (group I) and two weekly instillations every 3 months (group II) during 3 years. In the two schedules we assessed efficacy, tolerance, leukocyturia and prostate-specific antigen. Results: No significant difference was observed between the two groups for recurrence at 6, 12 or 18 months. At 2 years, tumor recurrence was observed in 10.9% and muscle invasion in 2.9% of cases. Bacillus Calmette-Guérin tolerance was comparable -the adverse events score was 0.8 in group I and 1 in group II (P = 0.242). No statistical correlation was observed between the adverse events score over 2 years, either for leukocyturia (P = 0.8891) or prostate-specific antigen level (P = 0.7155). Leukocyturia level was not significantly associated with tumor recurrence or progression. Conclusion: One-third dose maintenance bacillus Calmette-Guérin is effective with no impact on tumor recurrence or muscle invasion. Furthermore, there seems to be no difference in tumor response or side-effects between patients receiving two or three maintenance instillations every 3 months or 6 months. In clinical practice, the use of leukocyturia or total prostate-specific antigen levels do not appear to be useful in predicting bacillus CalmetteGuérin toxicity.

Le lymphangiome kystique est une tumeur bénigne malformative rare des vaisseaux lymphatiques à localisations diverses. La localisation rétropéritonéale est moins fréquente comparée à celle mésentérique. Sa présentation clinique est polymorphe. Le diagnostic est évoqué par l'imagerie mais il nécessite une confirmation histologique. Le traitement de choix est chirurgical. Notre objectif est d'étudier les manifestations cliniques, les complications, les aspects diagnostiques et thérapeutiques de cette tumeur. Nous rapportons une série de 5 cas de lymphangiomes kystiques rétropéritonéaux (4 femmes et un homme) opérés dans notre service entre les années 2004 et 2014. Leurs dossiers ont été examinés rétrospectivement. Le suivi était basé sur l'examen clinique et l'échographie abdominale. L´âge moyen était de 45 ans. Le suivi moyen était de 32,6 mois. La symptomatologie révélatrice la plus fréquente était les douleurs et/ou une masse abdominale. Le scanner abdominal était l'examen le plus utile au diagnostic. Une exérèse complète était réalisée d'emblée chez quatre patients et elle était différée après cinq ans de surveillance par une échographie annuelle chez un. Dans un cas, on a eu recours à une néphrectomie. Aucune récidive ni complication n´ont été notées chez les 5 patients. le lymphangiome kystique à localisation rétropéritonéale est une affection rare. Sa prise en charge thérapeutique repose sur une exérèse complète, de cas de lésions symptomatiques ou de complications, pour limiter le risque de récidive. Cette dernière peut être différée chez les patients asymptomatiques.