PurposeThis study aims to develop a new reference framework which accounts for the motivations of headquarters (HQs) from developed countries and the roles of their subsidiaries established in developing countries.Design/methodology/approachA multiple case studies approach was used for this research. The data were collected using a directed interview with 20 participants in eight foreign subsidiaries established in Tunisia.FindingsThe results show that the studies of subsidiaries can be classified into “workshop” subsidiaries and “market” subsidiaries according to the level of their added‐value activities, the scope of the market served and the level of their decision‐making autonomy. Furthermore, the development trajectory of these subsidiaries takes the form of two consecutive phases. In the first phase, the subsidiaries begin acquiring new competencies which allow them to integrate value‐creating activities that are far beyond intensive labor or low‐technology activities. Subsidiaries in the second phase intervene more and more in strategic decisions related to their growth. While the “workshop subsidiaries” in this study are still in the first phase, the “market subsidiaries” have succeeded in broadening their regional responsibilities within the multinational.Research limitations/implicationsThis research had a number of limitations; the most important is the explanatory and qualitative method used in this paper. In addition, this research solely focused on foreign subsidiaries that are still in business. It also would be interesting to investigate the subsidiaries that are stalled or shrank. The perspective of the HQs and the Western institutional players would be also relevant to explore.Originality/valueDespite the abundance of works on subsidiaries' role, there has been very little research that looks explicitly at the role of foreign subsidiaries in developing countries. This research expands the existing literature and provides evidence on the motivation of multinational companies as well as the role of their subsidiaries in developing countries. This study helps us rethink the redistribution of decision‐making power between the HQs and the subsidiaries established in the developing countries.
Résumé Dans cet article, nous tentons de démontrer que la confiance interpersonnelle joue un rôle de médiation entre les réseaux sociaux et le comportement de partage des connaissances dans les entreprises tunisiennes de haute technologie. Même si l’impact direct des réseaux sociaux sur le partage des connaissances a été traité par les recherches antérieures, nous pensons qu’une telle relation gagnerait à intégrer le rôle de la confiance interpersonnelle comme mécanisme intermédiaire. En conformité avec McAllister (1995), nous nous proposons d’étudier deux formes de confiance interpersonnelle : la confiance cognitive (basée sur les compétences) et la confiance affective (basée sur les échanges socio-émotionnels). Un modèle structurel a permis de tester les hypothèses de recherche. Les résultats de l’enquête soutiennent partiellement nos conjectures théoriques. Ils montrent que seule la qualité des interactions dans un réseau social influence positivement et significativement les deux formes de confiance. Sur un autre plan, seule la confiance affective aurait une influence sur le comportement de partage des connaissances. Enfin, les résultats stipulent que la confiance affective médiatise l’effet de la qualité d’interaction sur le comportement de partage des connaissances. Une discussion est engagée sur la base de ces résultats et les implications de la recherche, sur le plan théorique et managérial, sont présentées.
Cet article a une triple visée : il cherche à expliquer les mécanismes qui régissent le processus de transfert des connaissances entre siège/filiales. Cette étude cherche également à apporter des éléments de réponses à la problématique de la capacité d’absorption et l’encastrement (relationnel/ structurel et politique/institutionnel) des connaissances reçues par les filiales occidentales implantées en Tunisie.
N ouveau paradigme (Bacqué, 2005) ou expression incantatoire (Lefebvre, 2008), la participation citoyenne revêt des significations plurielles, et se meut à travers des formes hétéroclites comme la consultation, l'information, le référendum ou encore le débat public (Stewart, 2007). La participation citoyenne peut s'exercer à travers l'engagement associatif syndical et politique (André, 2012). Aussi, elle n'est pas sans lien avec l'empowerment (Zimmerman et Rappaport, 1988; Genard, 2015) qui est à même de concrétiser la souveraineté du peuple, et son implication dans la prise de décision publique (Carr et Halvorsen, 2001). RÉSUMÉ Ce travail cherche à saisir les attentes renouvelées des jeunes bénévoles en matière de participation citoyenne dans un pays en contexte de transition démocratique. Sa visée est de comprendre comment l'engagement bénévole des jeunes peut être un levier potentiel d'empowerment citoyen. Les résultats de l'étude menée dans le secteur associatif en Tunisie ont révélé que l'engagement bénévole est mu par un maillage de motifs intrinsèques et extrinsèques. Le regard croisé porté sur les attentes des jeunes bénévoles tunisiens a souligné qu'ils sont en quête d'une citoyenneté habilitante et inclusive où ils seraient les véritables artisans du changement social et politique .
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