Disponible en ligne en accès réservé sur Wiley : http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-8551.2011.00802.x/pdfInternational audienceThe gap between theory and practice is a persistent problem in management and organization research. In this respect, several scholars have suggested that 'design' is an ideal-typical form of mode 2 knowledge production. Design research develops knowledge in the service of action and problem solving in organizational settings. In this paper, we connect two perspectives on design that can be considered to be largely complementary, but have hardly been combined and integrated in practice: science-based design drawing on design propositions grounded in research and human-centred design emphasizing an active and systematic participation by users and other stakeholders. An integrated approach that builds on both perspectives is developed, and subsequently applied to designing and developing a portal for mapping competencies in an information technology cluster. This project involves creating problem awareness, articulating design propositions as well as developing scenarios of use, experimenting with prototypes, and organizational transformation. As such, this methodology addresses the dual challenge of rigor and relevance by producing both scientific and practical knowledge
Les méthodes mixtes rencontrent un succès croissant dans les sciences sociales aujourd'hui, succès en partie lié à leur capacité à générer des résultats de recherche qui diffèrent de ceux obtenus par les méthodologies traditionnelles. À ce titre, les méthodes mixtes semblent fécondes pour le domaine des Systèmes d'Information (SI) notamment car elles offrent un large éventail de choix méthodologiques (Mingers, 2001 ;Venkatesh et al., 2013). Cependant, nous disposons de peu de connaissance sur la façon dont les auteurs s'approprient justement ces méthodes et sur les choix qu'ils effectuent. Dans cette perspective, cet article a pour objet de mieux comprendre l'utilisation des méthodes mixtes faite par les chercheurs dans le domaine des SI afin d'appréhender s'il existe des tendances quant à l'usage de ce type de méthode et si ces méthodes sont rigoureusement mises en oeuvre. Pour ce faire, à partir d'une revue de littérature comparative sur les méthodes mixtes en sciences sociales et en SI, une analyse bibliographique sur sept journaux en SI a été conduite sur la période 2008-2016. Cette analyse nous permet d'apporter un regard critique sur l'utilisation des méthodes mixtes en SI et de compléter ainsi les deux études bibliographiques réalisées par Mingers (2001) et Venkatesh et al. (2013. En ancrant sa réflexion dans l'épistémologie, cette analyse se distingue alors des précédentes ce qui en fait son originalité et sa force. Elle nous permet alors de proposer des recommandations pour les auteurs désireux de mettre en oeuvre ce type de méthode.
Résumé Cet article propose un cadre théorique unifié et une méthodologie d’analyse des trajectoires des projets dans les organisations. La revue comparée des littératures en gestion, en sociologie et en économie structure ce cadre autour des concepts : ingrédients , moteurs , séquences et bifurcations . La « décomposition temporelle » (Langley, 1999) apparaît comme une des méthodologies qui préserve le mieux la richesse du cas et la transversalité de résultats. L’analyse de la trajectoire d’un projet industriel donne un exemple des résultats produits par ce cadre théorique et cette méthodologie.
L’objectif de cet article est de mettre en lumière l’approche du design science qui connaît aujourd’hui un intérêt grandissant dans de nombreuses revues et conférences européennes et nord-américaines. Peu utilisée à l’heure actuelle dans les travaux francophones, nous avons choisi de mettre en perspective cette approche en approfondissant ses apports mais aussi ses limites. Dans cette perspective, un effort tout particulier portera sur la mise en évidence des fondements et des principales caractéristiques du design science en SI. Nous nous attacherons ensuite à mettre en exergue les controverses qui animent cette approche. Convaincue de l’apport du design science à la discipline SI, nous proposerons dans une discussion des voies de réflexion et des pistes de solution pour veiller à ce que le design science respecte la promesse qu’il s’est fixée, renforcer la création de connaissances théoriques et améliorer les pratiques en SI.
Public sector organizations (PSOs) are facing important structural, financial, environmental, and technological pressures. To adapt and respond to this complex and changing environment, PSOs need to deploy new innovative and collaborative approaches to capture and capitalize on specialized knowledge coming from a wider number of contributors. Open innovation (OI) is one such promising approach. Drawing on a dynamic capabilities perspective and based on an analysis of 100 case study reports of OI initiatives, we identified 16 key organizational actions deployed by PSOs to implement OI initiatives. Data analysis showed that PSOs' dynamic capabilities of sensing, seizing and transforming are enacted and collectively used to engage in OI initiatives through these 16 organizational actions. In virtually all of these organizational actions, information technology (IT) plays a key role either as a central support tool or as an outcome.
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L’essor d’Internet et des réseaux pair-à-pair ont favorisé la constitution de communautés autour de nouveaux projets collectifs qui remettent au premier plan les travaux sur les communs d’Ostrom (1990). Dans cette perspective, un nouveau champ de recherches s’intéresse au rôle de la technologie blockchain comme support de la gouvernance des communs. Ces recherches, encore peu nombreuses, sont essentiellement théoriques. Cet article se fixe ainsi comme objectif d’étudier l’utilisation concrète de cette technologie dans le processus de faire commun. Pour ce faire, cet article s’appuie sur l’étude du cas de la monnaie libre Ğ1. Nos résultats présentent en détail les modalités de gouvernance d’un nouveau type de commun développé par les membres de la monnaie libre Ğ1 : le dispositif socio-technique de création monétaire. Ce cas est intéressant car il permet de mettre en exergue les attributs de la blockchain Duniter spécifiquement développée pour les besoins de l’écosystème Ğ1. Il souligne également le rôle de cette blockchain pour soutenir l’auto-organisation du projet et, notamment, les faisceaux de droits que les membres ont mis en place afin d’allouer le dividende universel et le processus de faire commun.
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