Uterine Involution and Ovarian Activity in Postpartum Holstein Dairy Cows. A Review

Abstract

Following parturition in the cow, there is a significant period of sexual quiescence of variable length. This period of reproductive quiescence was found to be longer in suckling or intensively milked animals.This acyclic period is generally considered as the postpartum anoestrous period. The postpartum period constitutes an important period in the reproductive life of dairy cows because of its enormous influence upon subsequent fertility. The entire postpartum period, puerperium, is defined as the period from parturition until the genital organs return to its normal physiological and histological condition, as in normal non-gravid state. They added that any extension of the puerperium in cows might have a detrimental effect on the reproductive performance of the individual animal. Thus, the main determinant of this period is essentially dependent on the resumption of normal ovarian cycles, the manifestation of estrus behaviour and conception following insemination.

Postpartum Cyclicity of Holstein-Friesian Crossbred Cows Shows Relation with Serum Biochemical Profiles during 45-60 Days Postpartum

“…Negative energy balance during the first 3-4 weeks postpartum is highly correlated with the interval to first ovulation, the timing of the nadir (Beam and Butler, 1999). Deficiency of energy leads to disorders in the function of endometrium, delay in uterine involution, affects utero-immune cell function and ultimately lengthens VWP, which prolongs calving interval (Moyes, 2015;Elmetwally, 2018). The reproductive pathway between negative energy balance and the hypothalamicpituitary-ovarian axis is very complex and involves several metabolites and hormones.…”

Dynamique de l’involution utérine et de la croissance folliculaire pendant l’anoestrus postpartum chez le zébu peulh d’Afrique

“…L'anoestrus postpartum se définit comme la période transitoire au cours de laquelle l'axe hypothalamus-hypophyseovaire-utérus n'est pas en mesure de fonctionner sur le plan physiologique pour permettre une fertilité de la femelle après une mise bas. Cette période est marquée par l'involution de l'utérus (Zhang et al, 2010 ;Sharma et al, 2018) et la reprise des sécrétions des hormones gonadotropes (FSH et LH) par l'hypophysepour relancer le cycle ovarien (Abeygunawardena et Dematawewa, 2004). L'involution utérine s'apprécie en routine à travers des examens échographiques ou manuels (ou palpation rectale) de l'utérus.…”

“…Chez les femelles primipares, les manifestations d'oestrus sont apparues au cours de la deuxième ovulation chez 2/5 des femelles. L'effet et le mécanisme d'action de la parité sur la reprise de la cyclicité restent encore imprécis et controversés (Zhang et al, 2010 ;Sharma et al, 2018 ;Canadas et al, 2019). Nos résultats concordent avec les données de la littérature (Zhang et al, 2010 ;Kara et al, 2013).…”

“…Nos résultats concordent avec les données de la littérature (Zhang et al, 2010 ;Kara et al, 2013). Chez la race taurine d'Europe et d'Amérique, les primipares présentent des délais d'involution utérine ou un intervalle parturition -première ovulation plus longs que les multipares (Sharma et al, 2018). Ces derniers expliquent que le mécanisme d'action de la parité passe par la balance énergétique de l'animal.…”

“…Ces derniers expliquent que le mécanisme d'action de la parité passe par la balance énergétique de l'animal. Aussi, chez les primipares en croissance, la fréquence des pulses de LH au cours du post-partum est lente (Nogueira et al, 2013 ;Sharma et al, 2018). De plus, chez la vache Brahman, les primipares développent 34% en plus de vagues folliculaires que les multipares (Ramirez, 2006).…”