“…Monte 2007 pour un travail systématique de cette question sur le recueil Vents de Saint-John Perse). Mais ce rôle spécifique se rattache néanmoins au fonctionnement plus général de l'apostrophe appréciative qui, dans tous les genres, tantôt étaye l'énoncé dans lequel elle s'insère, tantôt est légitimée par cet énoncé même (Monte 2008(Monte : 1425(Monte -1426, dans un effet de boucle entre la dénomination choisie et l'acte illocutoire effectué par la profération de l'énoncé. Simplement, alors que les bénéfices de l'apostrophe appréciative sont en général de type argumentatif, en poésie ils sont surtout référentiels et textuels et contribuent à l'effet d'évocation théorisé par Dominicy (1992).…”