“…L'indigence des décors est attribuée à la proximité de cultures à céramique peu ornée présentes en rive gauche du Rhône. En effet, les influx possibles diffusés par une culture comme le Couronnien, où les formes céramiques sont très peu caractérisées et où les décors sont quasi absents, sont plus difficiles à percevoir que ceux d'une culture intégrant des décors céramiques bien typés comme le Ferrières qui a largement diffusé du côté provençal : « couronno-Ferrières » et « tardi-Ferrières » (Montjardin, 1970(Montjardin, , 1984, Fraischamp et Rhône-Ouvèze (Muller, D'Anna, 1986 ;Sauzade et al, 1990 ;D'Anna, 1995a), et en direction du nord-est : Néolithique final des lacs alpins et jurassiens, jusqu'en Suisse occidentale (Strahm, Thévenot, 1976 ;Pétrequin et al, 1988 ;Wolf, 1991 ;Giligny et al, 1995).…”