“…D'autre part, l'usage d'une é chelle gé né ralisé e de coping [14,22] et d'une é chelle d'attributions causales ne permettent de saisir finement ni l'ajustement psychologique à cette maladie pré cise ni la mise en sens de la maladie par les patients. Le recours à des mé thodologies plus qualitatives apparaît donc né cessaire pour dé crire et comprendre, dans une perspective complé mentaire, les processus à l'oeuvre et la façon dont les patients é laborent leurs rapports à la maladie et à la fatigue [5,8,12,25].…”