“…Comme le montrent, de divers points de vue, Arditty et Vasseur (1999), Mondada (1998), Pallotti (2002) et Cambra Giné (2003, il s'agit en réalité d'un terrain d'interaction, que construisent, occupent et travaillent les participants, dans divers rôles respectifs. Qu'il s'agisse d'acquisition des langues ou d'interaction exolingue hors acquisition, on dépasse là une démarche (celle, initiale, de la linguistique de terrain, des recueils d'interlangues et de lectes d'apprenants) dans laquelle il y aurait un fournisseur de données et un solliciteur-collecteur de données.…”