“…Ils permettent de s'émanciper d'un point de vue économique, social, voire politique, des contraintes liées à une gestion collective (communautaire ou étatique) des eaux superficielles -tours d'eau par exemple. Il peut s'agir d'initiatives purement individuelles ou de dynamiques collectives de mise en valeur de nouveaux territoires, qui, promues par les États, sont à l'origine de l'intensification et de l'expansion agricoles dans certaines zones arides, voire désertiques, comme dans la région de Biskra en Algérie (Amichi et al, 2015).…”