Giant oral aphthous ulcers induced by nicorandil

Desruelles,; Bahadoran, Philippe; Lacour,; Perrin,; Santini,; Ortonne,

doi:10.1046/j.1365-2133.1998.02198.x

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“…There are also case reports of aphthous-like ulceration arising following the use of beta-blockers such as labetalol (Pradalier et al, 1982), alendronate (Gonzalez-Moles and Bagan-Sebastian, 2000), captopril (Seedat, 1979;Nicholls et al, 1981;Corone et al, 1987;Montoner et al, 1990), nicorandil (Boulinguez et al, 1997;Reichart, 1997;AgboGodeau et al, 1998;Cribier et al, 1998;Desruelles et al, 1998;Roussel et al, 1998;Marquart-Elbaz et al, 1999;Shotts et al, 1999), some non-steroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDs) (Siegel and Balciunas, 1991;Healy and Thornhill, 1995), mycophenolate or sirolimus (van Gelder et al, 2003), protease inhibitors (Scully and Diz, 2001), tacrolimus (Hernandez et al, 2001), and sulfonamides, though the exact pathogenic mechanisms are unclear in all of these.…”

Section: (B) Drug-related Aphthous-like Ulcerationmentioning

confidence: 99%

Adverse Drug Reactions in the Orofacial Region

Scully

Bagán

2004

Critical Reviews in Oral Biology & Medicine

211

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A wide spectrum of drugs can sometimes give rise to numerous adverse orofacial manifestations, particularly dry mouth, taste disturbances, oral mucosal ulceration, and/or gingival swelling. There are few relevant randomized double-blind controlled studies in this field, and therefore this paper reviews the data from case reports, small series, and non-peer-reviewed reports of adverse drug reactions affecting the orofacial region (available from a MEDLINE search to April, 2003). The more common and significant adverse orofacial consequences of drug therapy are discussed.

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Section: (B) Drug-related Aphthous-like Ulcerationmentioning

confidence: 99%

Adverse Drug Reactions in the Orofacial Region

Scully

Bagán

2004

Critical Reviews in Oral Biology & Medicine

211

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“…Il a été commercialisé en France à partir de 1994. Les premiers cas d'ulcé-rations buccales uniques ou multiples, mimant des aphtes géants, imputées à ce médicament ont été publiés dans la littérature dès 1997, surtout par des auteurs français [6][7][8][9][10]. Dans une étude prospective, Marquart-Elbaz et al ont retrouvé une prévalence des ulcérations buccales d'environ 5 % chez les patients traités par nicorandil [11].…”

Section: Discussionunclassified

“…La langue est le plus souvent atteinte par une ulcération unique mais d'autres muqueuses buccales (labiale, jugale, palatine et gingivale) peuvent être concernées par des lésions multiples simultanées ou non avec l'ulcération linguale [6][7][8][9][10][11][12][14][15][16]. Un antécédent d'aphtose récidivante a été retrouvé chez une partie des patients [7,8,11].…”

Section: Discussionunclassified

Démarche diagnostique devant une ulcération linguale unique. Cas clinique et revue de la littérature

Radoï

Renoux

2016

Med Buccale Chir Buccale

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Résumé -Introduction :Les ulcérations des muqueuses buccales peuvent être dues à une cause locale mais également être la manifestation de certaines pathologies générales ou de leurs thérapeutiques. Des maladies infectieuses, dermatologiques, hématologiques, carentielles, malignes et la prise de certains médicaments sont susceptibles de provoquer des ulcérations buccales, d'évolution aiguë ou chronique. De nombreux médicaments peuvent induire des ulcérations buccales, associées ou non à d'autres atteintes, cutanées et/ou muqueuses. Observation : Une patiente de 85 ans consultait pour une ulcération linguale évoluant depuis 5 semaines. Ce travail présente la démarche diagnostique qui a permis d'aboutir au diagnostic d'ulcération d'origine médicamenteuse liée à la prise de nicorandil. Discussion : Devant une ulcération muqueuse, l'anamnèse et l'examen clinique orientent le diagnostic. Les examens complémentaires permettent de retenir la cause médicamenteuse, après l'exclusion des autres étiologies possibles. La démarche diagnostique peut s'avérer difficile, notamment chez les patients qui souffrent de nombreuses pathologies et sont polymédiqués. Conclusion : L'implication du nicorandil dans la survenue d'ulcérations buccales ou extra-buccales est mal connue par les praticiens, ce qui explique le retard dans le diagnostic et la prise en charge adaptée des patients.Abstract -Diagnostic approach to a single chronic ulcer of the tongue. Case report and literature review.

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“…There has been suggestion that there is a minimal dose required to induce oral ulceration 4 or that there may be a dose dependent mechanism in place since in some reported cases the ulceration is induced after there is an increase in the Nicorandil dose. 6 In the patients reported here the ulceration occurs across a range of doses from 20-60 mg per day; other reports have shown oral ulceration from 10-80 mg (across the recommended dose range).…”

Section: Discussionmentioning

confidence: 99%