Epistemic responsibility without epistemic agency

Engel, Pascal

doi:10.1080/13869790902838522

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“…13. See for discussion and references Shah 2003, Engel 2005 Although it seems to be kind of action in the practical case, it is not. But I leave this aside here.…”

Section: Resultsmentioning

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Is Epistemic Agency Possible?

Engel

2013

Philosophical Issues

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There are mental actions, and a number of epistemic attitudes involve activity. But can there be epistemic agency? I argue that there is a limit to any claim that we can be epistemic agents, which is that the structure of reasons for epistemic attitudes differs fundamentally from the structure of reasons for actions. The main differences are that we cannot act for the wrong reasons although we can believe for the wrong reasons, and that reasons for beliefs are exclusive in a sense in which our reasons for actions are not. Epistemic agency is possible in the weak sense that we can be active, but not in the strong one in which we could have some elbow room for our epistemic reasons in reasoning leading to beliefs and other epistemic states.

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“…13. See for discussion and references Shah 2003, Engel 2005 Although it seems to be kind of action in the practical case, it is not. But I leave this aside here.…”

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Is Epistemic Agency Possible?

Engel

2013

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“…Reprenons une expérience de pensée proposée par Railton (1994, p. 84 TP a au moins deux conséquences intéressantes. Tout d'abord, si l'on définit, de manière minimale, l'akrasia ou incontinence épistémique comme la coexistence de la croyance que P et du jugement de second niveau selon lequel je ne devrais pas croire que P parce que je ne suis pas épistémique-ment justifié à croire en la vérité de P (Engel 2007 ;Hookway 2001;Ribeiro 2011) 10 , alors l'aliénation doxastique n'est pas réductible à l'incontinence épistémique. Dès lors, et de manière plus fortement contre-intuitive, l'incontinence épis-témique n'est pas nécessairement une source d'aliénation doxastique.…”

Section: -La Thèse Pluralisteunclassified

Aliénation doxastique, contrôle et expressivité

Ouzilou¹

2017

Lato Sensu

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Olivier Ouzilou AliénAtion doxAstique, contrôle et expressivité Vol 4 N°1 2017 DOI http://dx.doi.org/10.20416/lsrsps.v4i1.513 Une vaste littérature est consacrée aux situations au cours desquelles un agent ne s'identifie pas à un désir qui catalyse pourtant l'une ou plusieurs de ses actions. Selon Frankfurt (1971), il existe alors un conflit ou un décalage au sein de l'agent entre ce désir de premier niveau et une volition de second niveau. L'exemple de Frankfurt est fameux : le « toxicomane malgré lui » est habité par des désirs de premier niveau opposés, à savoir le désir de se droguer et celui de ne pas se droguer, mais il désire simultanément ne plus désirer se droguer. Ce désir de second ordre est précisément ce qui le distingue du toxicomane irréflexif, qui peut parfaitement être animé de désirs conflictuels tout en étant neutre quant à la question de savoir lequel de ses désirs est le plus désirable. Le concept de « volition » est mobilisé dans un tel contexte afin de caractériser les cas où le désir de second niveau ne porte pas simplement sur la possession ou la non-possession de tel désir mais sur sa dimension motivationnelle : le toxicomane malgré lui ne désire pas faire l'expérience du désir de cesser de se droguer afin, par exemple, de voir temporairement le monde sous la perspective de ce désir ou, pour reprendre l'expression du titre de l'article de Nagel (1974), de savoir « quel effet cela fait » de désirer ne pas consommer de drogue. Il désire, au contraire, que ce désir de second ordre se réalise, motive sa conduite et par conséquent produise à terme la cessation effective de l'activité de se droguer. Il aspire ainsi, pour reprendre les termes de Frankfurt, à ce que ce désir constitue sa « volonté ». Du fait de cette distance à soi, l'agent se sent comme étranger à son désir de premier niveau, et ce quelle que soit son intensité, mais également à l'action qu'il catalyse. D'où l'idée selon laquelle ce désir peut être qualifié d'« alié-né » : quoi qu'advenant en moi, il ne serait pas réellement de moi et ne pourrait dès lors être considéré comme pleinement « mien » SOCIÉTÉ DE PHILOSOPHIE DES SCIENCES (SPS)École 1. Le toxicomane malgré lui s'identifie ainsi, du fait de sa volition de second niveau, au désir de premier niveau de ne plus se droguer et se l'approprie plus intimement (Frankfurt 1971, p. 13).On peut définir la situation du toxicomane comme un cas d'aliénation à la fois pratique et subjective. D'une part, il s'agit d'un cas d'aliénation pratique au sens où les désirs Une vaste littérature est consacrée aux situations au cours desquelles un agent ne s'identifie pas à l'un de ses désirs. Cet article porte sur la possibilité d'un équivalent doxastique à ce cas de figure. Après avoir proposé une définition du concept d'« alié-nation subjective », je présente, dans un premier temps, la manière dont Hunter (2011) caractérise cette forme spécifique d'aliénation subjective que constitue l'aliénation doxastique. J'approfondis et évalue, dans un second temps, deux aspects de son analyse, à savoi...

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“…Thus, such views of justification run afoul of skepticism. For some responses to Alston's line of argument see Chuard and Southwood, 2009;Engel, 2009;Ginet, 2005;Heller, 2000;Hieronymi, 2008;Owens, 2000;Shah, 2002;and Steup, 2008. 15 Alston, 1989, p. 84;Kvanvig, 2010, p. 242;Goldman, 1986, p. 104;Pritchard, 2011, p. 238;Plantinga, 1986;Cf.…”

Section: Appendix B: Fitting Attitude Theoriesmentioning

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“…Thus, such views of justification run afoul of skepticism. For some responses to Alston's line of argument see Chuard and Southwood, ; Engel, ; Ginet, ; Heller, ; Hieronymi, ; Owens, ; Shah, ; and Steup, .…”

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The Composite Nature of Epistemic Justification

Silva

2015

Pacific Philosophical Qtr

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According to many, to have epistemic justification to believe P is just for it to be epistemically permissible to believe P. Others think it is for believing P to be epistemically good. Yet others think it has to do with being epistemically blameless in believing P. All such views of justification encounter problems. Here, a new view of justification is proposed according to which justification is a kind of composite normative status. The result is a view of justification that offers hope of solving some longstanding epistemological problems.

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Epistemic responsibility without epistemic agency

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Is Epistemic Agency Possible?

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The Composite Nature of Epistemic Justification

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