This study aimed to explore relationships between fitness, on-ice physical abilities and game performance among elite junior male ice hockey players. Twenty-one major junior ice hockey players (18.9 ± 1.4 years old) participated in the study. Measures including five fitness tests (anthropometric measures, pull up test, bench press test, broad jump, vertical jump) and three on-ice skating tests (multi-stage aerobic skating test, 44-m sprint test, and backward skating test) were assessed during their pre-season training camp. Game performance metrics (collected during the regular season) were collected using InStat software. Results of the (on-ice and off-ice) functional performance test protocol and on-ice tests were analyzed by evaluating correlation coefficients in multiple areas of game performance: 1) physical implication (body checks), 2) offensive contribution (expected goals for, types of zone entries), and 3) defensive actions (blocked shots, expected goals against). They revealed that performance in the broad jump test was associated with skating speed. Some significant correlations were also observed between on-ice test performance indicators such as received body checks, expected goals and blocked shots. In summary, results indicate that on-ice test protocols were associated with players’ performance in multiple aspects of the game. Partial correlation analyses revealed that some of these relationships were specific to the player's position. Forward skating was associated with forwards’ offensive play, and backward skating was specifically related with defensemen’s performance (offense and defense). The addition of on-ice physical tests appears essential for interpreting the results of ice hockey players' physical tests and integrating these results into players’ physical preparation and the in-season follow-up.
Tous droits réservés © Laval théologique et philosophique, Université Laval, 2010 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l. (2010). Littérature et histoire du christianisme ancien. Laval théologique et philosophique, 66 (1), 183-226. https://doi.org/10.7202/044327ar Laval théologique et philosophique, 66, 1 (février 2010) : 183-226 183 chronique LITTÉRATURE ET HISTOIRE DU CHRISTIANISME ANCIEN * En collaboration ** Instrumenta studiorum 1. Takamitsu MURAOKA, A Greek-English Lexicon of the Septuagint. Louvain, Paris, Walpole, Mass., Peeters, 2009, XL-757 p.Il existe déjà un certain nombre de dictionnaires de la Septante, partiels ou complets, dont celui de J. Lust, E. Eynikel et K. Hauspie, récemment réédité 1 , et les deux que Takamitsu Muraoka a consacré aux Douze Prophètes 2 . Mais celui que livre maintenant le professeur émérite de l'Université de Leiden s'imposera sans peine comme le principal outil lexicographique dans le domaine. Le nouveau dictionnaire se distingue tout d'abord par l'exhaustivité de ses relevés puisqu'il couvre non seulement l'ensemble de la Septante, y compris les livres dits deutérocanoniques ou apocryphes, mais aussi les versions ou recensions secondaires ou divergentes attestées pour certains livres bibliques, comme le texte antiochien, la recension dite kaigé (qui désigne un groupe de traducteurs affectionnant cette particule pour rendre la particule hébraïque gam, « aussi »), la version de « Théodotion » du livre de Daniel, etc. Sur le plan textuel, le lexique se fonde essentiellement sur les éditions critiques préparées par le « Septuaginta-Unternehmen » de Göttingen ou, à défaut, sur l'édition manuelle d'Alfred Rahlfs ou sur la grande édition de Cambridge. En certains cas, il enregistre des mots ou des formes
La sagesse est un vaste sujet. Avec ce livre, par exemple, c'est en presque 2 000 pages qu'on traite des maîtres spirituels et de leurs écrits. Comment critiquer un tel ouvrage ? Commençons peut-être par décrire l'objectif de ce livre. Les éditeurs le présentent comme une collection de textes écrits par et pour ceux qui « refusent de s'en tenir à une vision purement matérialiste de l'homme et du monde » (p. 8), donc des textes spirituels dans le sens libre et ouvert du mot -pour ne pas dire vague. On admet tout et on met tout côte à côte. Comme le disent les éditeurs, on y a fait « une recherche plus attentive à ce qui rassemble et qui ressemble qu'à ce qui sépare ou diverge » (p. 9). Il s'agit alors d'une vulgarisation, un peu Nouvel Âge dans l'esprit. Ce n'est pas là un problème puisqu'on a toujours besoin de bonnes vulgarisations. Et la nôtre est effectivement bonne, même si elle n'est pas parfaite.Le livre se divise en trois parties. L'ouvrage débute par une centaine de petites biographies des maîtres spirituels (en moyenne cinq à dix pages chacune). De l'Égypte pharaonique aux « lamas tibétains contemporains », on trouve tous les grands noms, et quelques-uns auxquels on s'attendrait moins, comme Mani (biographie écrite par Madeleine Scopello, qui a fait aussi la biographie des « Gnostiques ») ou Thomas Münzer. Les maîtres des traditions chrétiennes, musulmanes et juives * Précédentes chroniques (sous le titre « Ancienne littérature chrétienne et histoire de l'Église ») : Laval théologique et philosophique, 45 (1989), p. 303-318 ; 46 (1990), p. 246-268 ; 48 (1992), p. 447-476 ; 49 (1993), p. 533-571 ; 51 (1995), p. 421-461 ; 52 (1996), p. 863-909 ; 55 (1999), p. 499-530 ; (sous le pré-sent titre) : 57 (2001), p. 121-182 ; 57 (2001), p. 337-365 ; 57 (2001), p. 563-604 ; 58 (2002), p. 357-394 ; 58 (2002), p. 613-639 ; 59 (2003) La troisième partie, qui se veut synthétique, est très courte (seulement 300 pages !). Elle donne de brefs résumés des « spiritualités dans l'histoire », organisées par région géographique ou par religion. Dans une vingtaine des pages, on essaie donc de décrire la spiritualité de la Mésopotamie, du bouddhisme, ou de l'Afrique Noire, etc. L'idée est bonne, mais le résultat -comme on doit s'y attendre -n'est pas très satisfaisant. (BA 17). Livre relativement bref, avez ses 12 chapitres, mais énigmatique et difficile, la traduction française de sa version grecque que propose Françoise Vinel exigeait une introduction développée. Les sept chapitres de celle-ci examinent l'ensemble les problèmes liés au texte grec, tout en abordant les questions que soulève l'interprétation du livre biblique. Celles qui touchent à la chronologie sont abordées d'entrée de jeu. On retiendra que, si l'Ecclésiaste a été composé au milieu du troisième siècle avant notre ère et qu'il est attesté à Qumran par l'un des rouleaux de la grotte IV, ce qui nous mène au deuxième siècle avant notre ère, il ne sera admis dans la liste des livres canoniques juifs que dans la période séparant les deux guerres judéo-romaine...
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