Life Cycle Analysis (LCA) is the evaluation of the impacts that design decisions have on a system and provides a framework for identifying and evaluating design benefits and burdens associated with the life cycles of space transportation systems from a "cradle-to-grave" approach. Sometimes called "life cycle assessment", "life cycle approach", or "cradle to grave analysis", it represents a rapidly emerging family of tools and techniques designed to be a decision support methodology and aid in the development of sustainable systems. The implementation of a Life Cycle Analysis can vary and may take many forms; from global system-level uncertainty-centered analysis to the assessment of individualized discriminatory metrics. This paper will focus on a proven LCA methodology developed by the Systems Analysis and Concepts Directorate (SACD) at NASA Langley Research Center to quantify and assess key LCA discriminatory metrics, in particular affordability, reliability, maintainability, and operability. This paper will address issues inherent in Life Cycle Analysis including direct impacts, such as system development cost and crew safety, as well as indirect impacts, which often take the form of coupled metrics (i.e., the cost of system unreliability). Since LCA deals with the analysis of space vehicle system conceptual designs, it is imperative to stress that "the goal of LCA is not to arrive at the answer but, rather, to provide important inputs to a broader strategic planning process, allowing the managers to make risk-informed decisions, and increase the likelihood of meeting mission success criteria."
Introduction
D'après les données dont nous disposons, les niveaux actuels des émissions de tritium provenant des réacteurs CANDU au Canada n'entraîneraient pas d'effets néfastes sur la santé. Toutefois, les études ne précisent pas les doses spécifiques au tritium, et reposent sur un petit nombre de cas. La présente étude avait pour but de déterminer si le tritium émis par la centrale nucléaire de Pickering, en Ontario, lors de ses activités courantes, est associé à un risque de cancer.
Méthodologie
Nous avons constitué une cohorte rétrospective en couplant les données sur les résidents de Pickering et de North Oshawa (1985) à celles sur les nouveaux de cas cancer (1985-2005). Nous avons examiné les cas de cancer tous sièges combinés, ainsi que les cas de leucémie, de cancer du poumon, de cancer de la thyroïde et de cancer infantile (6-19 ans) pour les sujets de sexe masculin et féminin, de même que les cas de cancer du sein chez la femme. Les estimations de la concentration de tritium reposaient sur un modèle de dispersion atmosphérique qui intégrait les caractéristiques des émissions annuelles de tritium et les données météorologiques. Chaque membre de la cohorte s'est vu assigner une estimation de la concentration de tritium, en fonction de son lieu précis de résidence. Une analyse des années-personnes a permis de déterminer si les cas de cancer observés étaient plus nombreux que prévus. Un modèle de régression des risques proportionnels de Cox a servi à établir si le tritium était associé à des cancers radiosensibles à Pickering.
Résultats
Une analyse des années-personnes a révélé que le nombre de cas de cancer chez les jeunes filles était significativement plus élevé que prévu (rapport standardisé d'incidence [RSI] = 1,99, intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,08 à 3,38). L'explication la plus plausible de cette observation est le recours à des comparaisons multiples. Les modèles de Cox ont révélé que le cancer du poumon chez la femme était significativement plus élevé à Pickering qu'à North Oshawa (RR = 2,34; IC à 95 % : 1,23 à 4,46) et que le tritium n'était pas associé à une augmentation du risque. La méthodologie améliorée de la présente étude nous permet de mieux comprendre les risques de cancer associés à une exposition à de faibles doses de tritium.
Conclusion
Les doses estimées de tritium n'ont pas été associées à une augmentation du risque de cancers radiosensibles à Pickering.
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