It is clear that brain size and structure can be greatly influenced by the environment, and in fish, factors such as habitat complexity, rearing environment, and reproductive status have been shown to affect brain morphology and behaviour, but it is unclear how long these effects last. The objective of the current study was to investigate variability in overall brain size and particular brain regions of male Chinook salmon (Oncorhynchus tshawytscha) through the evaluation of potential driving forces -environment and reproductive morph. By comparing fish from different rearing environments and different male reproductive morphs (hooknose versus jack), the current research assessed the influence of each of these factors on overall brain size and on select brain regions. Male hooknose salmon had relatively smaller brains, once corrected for body size, than male jack salmon, suggesting possible trade-offs between somatic and brain development. Fish reared in hatchery environments but released into the wild as presmolts still had relatively larger brains than their wild counterparts, despite sharing wild habitats for over 3 years, suggesting persistent effects of hatchery rearing. Taken together, these results show that the difference in reproductive morphs can substantially impact brain morphology and that short-term environmental influences can have persistent effects throughout ontogeny.Résumé : Il est clairement établi que le milieu ambiant peut avoir une grande incidence sur la taille et la structure du cerveau. Chez les poissons, il a notamment été démontré que des facteurs comme la complexité de l'habitat, le milieu d'alevinage et l'état de reproduction influencent la morphologie et le comportement du cerveau, bien que la durée de ces effets ne soit pas bien connue. L'objectif de l'étude consiste à examiner la variabilité de la taille globale et de régions précises du cerveau de saumons quinnats (Oncorhynchus tshawytscha) mâles en évaluant des déterminants potentiels, comme le milieu et la forme reproductrice. En comparant des poissons de différents milieux d'alevinage et de différentes formes reproductrices mâles (bécards et furtifs), l'étude évalue l'influence de chacun de ces facteurs sur la taille globale et de différentes régions du cerveau. Les mâles bécards ont des cerveaux relativement plus petits, une fois leur taille pondérée selon la taille du corps, que les mâles furtifs, ce qui semble indiquer de possibles compromis entre le développement somatique et celui du cerveau. Les poissons issus d'écloserie relâchés dans la nature au stade de pré-saumoneau présentent des cerveaux relativement plus imposants que leurs congénères sauvages, malgré le fait qu'ils aient partagé les mêmes habitats naturels pendant plus de trois ans, ce qui indiquerait la persistance des effets de l'élevage en écloserie. Collectivement, ces résultats démontrent que la forme reproductrice peut avoir une incidence significative sur la morphologie du cerveau et que des influences de courte durée du milieu ambiant peuvent avoir des e...
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