The high‐energy tail of the electron distribution function in the ionosphere is of special interest for the interpretation of a variety of atmospheric phenomena (stability of the ionospheric plasma [Nagy et al., 1962], contribution of electron impact excitation to the red day glow [Fournier and Nagy, 1965], etc.) This note presents the results of a computation of the photoelectron contribution to the high‐energy tail of the distribution. The photoelectrons are considered to be test particles, which are affected by the ambient particles but which themselves do not alter the ambient distribution. When the initial energy of the photoelectrons is much higher than the average energy of the ambient electrons, it is possible to distinguish photoelectron from ambient electron.
Face aux discours cherchant à stigmatiser l’étranger, à le présenter comme un danger sinon un problème, le Réseau Éducation Sans Frontières (RESF) construit à double titre une critique plus radicale qu’elle pourrait paraître au premier abord. Le RESF remet en cause les représentations et les perceptions xénophobes de l’altérité par le biais de son entrée tout à fait spécifique sur ce sujet : les enfants scolarisés et leurs familles sans-papiers. Nous montrerons tout d’abord comment cette entrée ne lui permet pas simplement de sensibiliser, du point de vue humanitaire, à sa cause. Elle lui permet surtout de faire découvrir l’autre comme victime exploitée, dépendante, opprimée. Ensuite, le RESF construit cette critique de la xénophobie en utilisant un mode d’organisation tout à fait original : la structure en réseau. Nous montrerons comment celle-ci lui permet d’élaborer une critique sociale là où les organisations traditionnelles n’y parviennent plus.
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