International audiencePurposeThe purpose of this paper is to examine the environment-strategy-structure fit in the context of industrial servitization and its impact on the profitability of manufacturing SMEs.Design/methodology/approachData were collected from face-to-face interviews with the CEOs of 184 French manufacturing SMEs. These primary data were complemented by the indicators extracted from a financial database to ensure objective measures of financial performance. Analyses were conducted by means of partial least squares structural equation modeling.FindingsThe research tests the impact of the organizational design (customer interface, service delivery system and service culture (SC)) on financial performance. It also tests the moderating effect on this relationship of servitization strategies adopted by the firm (added services (AS), activities reconfiguration (AR) and business model reconfiguration (BMR)) and the environment in which the firm is situated (industry dynamism, competitive intensity and industry munificence).Research limitations/implicationsThis study considers the coalescence of the environment-strategy-structure to be a driver of firm performance in the context of industrial firms’ servitization. Three specific servitization strategies (AS, AR and BMR) are suggested based on the service offering’s impact on the customer’s activity chain or business model.Practical implicationsThe research proposes some optimal organizational design depending on servitization strategy and environmental factors; for example, SC has a strong impact on financial performance when BMR is adopted.Originality/valueThis empirical study is based on an extended sample of 184 SMEs and provides quantitative support for the claim that good alignment between strategy and organizational design based on environmental factors increases profitability
The purpose of the study is to analyze the effectiveness of public policies on the international performance of the small and medium-sized enterprises (SMEs). Specifically, we investigate the effect of public export promotion programs (EPPs) on two types of organizational capabilities, i.e. export capabilities which have been already used in previous modelization, and international risk management practices as an original variable intended to better explain the effectiveness of public policies on the SME's international performance. We use a quantitative methodology based on a structural equation modeling approach applied to a sample of 147 internationalized French SME that used EPPs. Our results add value to theoretical and empirical knowledge on the effectiveness of public support programs on the international performance of SMEs, since we demonstrate an indirect effect between EPPs and international performance, through export capabilities and risk management practices. We also show that by strengthening the risk management practices, EPPs stimulate the SME in implementing foreign direct investment strategies.
De nombreuses PME qui survivent restent petites, soit en raison des potentialités de leurs marchés, soit parce que leurs dirigeants n’ont pas l’intention de croître, notamment pour des raisons de contrôle. Certaines d’entre elles, les « gazelles », se développent beaucoup plus rapidement que les autres. Leur potentiel de contribution à la croissance de l’économie et à la création d’emplois est aujourd’hui considéré comme majeur dans la plupart des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Or la volonté de croissance dans la PME reste difficile à assumer financièrement sur une longue période.
Dans ce travail de recherche, nous montrons qu’il est difficile d’appréhender la problématique financière de la PME indépendamment des caractéristiques de son dirigeant ou de son équipe dirigeante. Ces dernières ont une influence fondamentale sur l’intention de croissance, considérée comme une condition sine qua non à l’atteinte et au maintien d’une trajectoire de développement rapide. À chaque dirigeant correspondent donc « une forme » d’intention de croissance et une personnalisation des principales décisions financières.
Nos propos sont étayés par une revue de la littérature de recherche sur les exigences du phénomène d’hypercroissance et le rôle joué, dans ce contexte précis, par les caractéristiques des dirigeants sur l’intention de croissance et les décisions financières. Nous illustrons nos développements à l’aide de deux études de cas de PME en hypercroissance.
Résumé :Historiquement, la notion de slack a été avancée par l'approche ressources (Penrose, 1959) pour expliquer la croissance. Paradoxalement, face aux arguments de ses détracteurs (relevant principalement de la théorie de l'agence), les études empiriques se sont surtout attachées à étudier le rôle d'un slack dans la performance de l'entreprise, celle-ci étant essentiellement mesurée en termes de profit. Ces études ont abouti à des résultats très contrastés, mais avec tout de même la mise en évidence de divers types de slack aux fonctions potentiellement assez différentes dans la performance. L'intention générale de cette étude est de tester empiriquement d'une part les types de slack financier qui influencent ou non la croissance et d'autre part ceux qui contribuent le plus à l'entrée en forte croissance. Les résultats témoignent au final de l'influence de deux types de slack sur la forte croissance : un slack potentiel (la capacité d'endettement) et un slack absorbé (la rotation des actifs). La croissance forte reposerait davantage sur la capacité de l'entreprise à tirer parti de ses ressources, que sur des niveaux de ressources en soi.
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