Background
Patient-led education contributes to the implementation of practical experience of working with patients in health care professional curricula. There are few descriptions of patients’ involvement in pharmacists’ training and most often, the patients have been used as passive props to facilitate training. More recently, greater emphasis has been given to a more active form of patient involvement but the application in the curriculum of pharmacy has not been conceptualized. Thus, the aim of our study was to implement a workshop involving patients as partners in undergraduate pharmacy educational programme, and to evaluate its impact of on students’ perspectives.
Method
On a prospective observational study basis, the impact was assessed in terms of relevance, learning outcomes and achievement transfer using the Kirkpatrick training assessment method. In addition, we evaluated social representations of the students before and after the workshop.
Results
Ninety-four students attended the sessions. All participants were satisfied and emphasized the relevance of the involvement of patients. Postworkshop scores were significantly improved in both competencies to be acquired. At the end of the workshop, students reported two to three actions to implement in order to meet patients’ expectations, illustrating an intent to transfer learning outcomes in professional context. Interestingly, about patients’ expectations on pharmacist’s role, students’ social representations had evolved significantly after the session.
Conclusion
These results highlight the positive impact of the innovative workshops and the additive value of patients’ involvement in the pharmacy undergraduate programme.
En France, si la conception de l’excellence repose sur la performance académique, le phénomène de démocratisation ségrégative remet en question le principe méritocratique. L’article analyse, à travers le prisme des conceptions de la justice sociale, la manière dont les acteurs de l’éducation prioritaire se saisissent de “Parcours d’excellence”. Quelles pratiques de sélection choisissent-ils dans ce dispositif de promotion de l’égalité des chances ? Une recherche par entretiens (définition de l’excellence, objectifs déclarés, opérationnalisation de la sélection), menée de 2017 à 2019 en collaboration avec une académie ayant un fort taux d’établissements en éducation prioritaire, montre que la performance et la forme scolaire, critères objectivés du mérite, semblent orienter significativement le choix des publics destinataires de ce dispositif d’ouverture sociale. Si certains professionnels tentent de résister à l’injonction de sélection, ce refus de choisir peut s’inscrire dans une visée universaliste ou se traduire par la délégation du choix aux élèves eux-mêmes, sommés de se porter volontaires et ainsi exposés au risque d’auto-sélection.
L’accueil des élèves en situation de handicap, dont font partie les élèves présentant des troubles spécifiques du langage et des apprentissages, s’est généralisé depuis la loi de 2005. Leur présence en classe ordinaire amène les enseignants à adapter leurs pratiques en ayant recours aux outils numériques. Ont-ils accès à des formations pour les accompagner ? Quelle est l’influence de ces formations sur leurs pratiques inclusives ? Une enquête nationale, recueillant 3 707 participations, a été réalisée auprès des enseignants exerçant en milieu ordinaire dans les collèges publics nationaux. Les résultats montrent une corrélation entre les caractéristiques des formations et les gestes déclarés d’adaptation pédagogique et d’évaluation. La démarche volontaire est fortement corrélée à une variation de gestes, interrogeant l’influence de la motivation dans une démarche de professionnalisation.
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