This article explores the country of origin effects of private equity investment on employment in France. Using propensity score matching methodology applied to establishment‐level survey data, we find that foreign investors are significantly more likely to induce job shedding and employment insecurity than are French investors. As suggested by the literature on comparative capitalism, national differences may persist in conjunction with commonalities and trends in global capitalism.
This is a study of the effects of alternative investors on a range of work and employment practices in France, paying specific attention to whether investors are indigenous or not. We use data from a detailed survey of French firms, and set our research in the context of the literature on comparative capitalisms. We find that private equity (PE) investments from abroad are associated with greater job insecurity, less spending on training and lower wages, but French PE investments are not. We explore the reasons behind this variation and the implications for theory and practice.
S’il existe de nombreux travaux portant sur les conséquences de l’épargne salariale sur la performance des entreprises, peu de recherches depuis les premières (Gregg, Machin, 1988 ; Cheadle, 1989 ; Kruse, 1991 ; Cahuc, Dormont, 1992) se sont intéressées aux déterminants de ces pratiques, alors qu’elles se sont largement diversifiées et diffusées, faisant désormais partie du mix-rémunération des entreprises. Dans une optique largement exploratoire, une analyse statistique a été menée sur un échantillon de 1131 entreprises françaises et a permis tout d’abord d’identifier cinq profils de pratiques d’épargne salariale, en fonction de l’existence ou non de dispositifs d’épargne salariale (existence d’un accord de participation, d’un accord d’intéressement et/ou d’un plan d’épargne entreprise) et de l’intensité des pratiques (importance des montants des versements volontaires des salariés et de l’abondement de l’entreprise). Dans un second temps, s’appuyant sur une revue de la littérature, l’étude s’est intéressée aux déterminants externes et internes de ces profils. L’objectif est ainsi de mieux comprendre la cohérence de ces combinaisons de pratiques d’épargne salariale entre elles et par rapport au contexte externe et interne des entreprises dans une perspective contingente et configurationnelle. Au-delà d’une meilleure connaissance de ce complément de rémunération, les résultats de cette étude peuvent apporter un éclairage utile aux praticiens, responsables de la gestion des ressources humaines.
La France est le pays européen qui compte le plus d’actionnaires salariés. Si la littérature sur l’actionnariat salarié s’intéresse essentiellement à ses déterminants ou à ses enjeux sur les attitudes et les comportements des salariés et sur la performance des entreprises, peu de recherches empiriques étudient ses effets sur la gouvernance des entreprises en dépit de l’intérêt théorique que cela représente. Cet article analyse les effets de l’actionnariat salarié sur la diffusion d’information aux salariés et leur participation aux décisions stratégiques selon une méthode d’appariement par les scores de propension, à partir d’un échantillon d’entreprises françaises cotées et non cotées.
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