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BackgroundThe reoperation for isolated tricuspid regurgitation in rheumatic population is rare and still unclear and controversial because of the rarity of publications. The aim of this study was to analyze short and long-term results and outcome of tricuspid valve surgery after left-sided valve surgery in rheumatic patients.MethodsTwenty six consecutive rheumatic patients who underwent isolated tricuspid valve surgery after left-sided valve surgery between January 2000 and January2017 were retrospectively registered in the study. The mean age was 48.2 ± 8.6 years with 8.3% as sex-ratio (M/F). EuroSCORE was 6.1 ± 5 (range 2.5 to 24.1). The mechanism of tricuspid regurgitation was functional and organic in respectively 14 (53.8%) and 12 cases (46.2%). Ten patients (38.5%) had previous tricuspid valve repair. Surgery consisted of 15 ring annuloplasty and 11 tricuspid valve replacement (5 bioprostheses and 6 mechanical prostheses). Follow-up was 96.1% complete, with a mean follow-up of 55.6 ± 38.8 months (range 1 to 165).ResultsThe operative mortality rate was 15.4% (n = 4) and the cumulative survival at 1, 5 and 10 years was respectively 80% ± 8%, 75.6% ± 8.7% and 67.2% ± 11.1% with no significant difference at 8 years between tricuspid valve replacement (80% ± 12.6%) and repair (57.6% ± 16.1%) (p = 0.5). Multivariable Cox regression analysis revealed that ascites (HR, 5.8; p = 0.01), and right ventricular dysfunction (HR, 0.94; p = 0.001) were predictors of major adverse cardiac events. There were no recurrence of tricuspid regurgitation and no structural or non-structural deterioration of valvular prostheses.ConclusionThe reoperation of rheumatic tricuspid regurgitation should be considered before the installation of complications such as right ventricular dysfunction and major signs of right heart failure. Despite the superiority of repair techniques, tricuspid valve replacement should not be banished.

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The subarachnoid hemorrhage (SAH) is definitely the best descriptive model of the interaction between cardiovascular system and cerebral damage. The underlying mechanism of cardiovascular alterations after SAH is linked to the adrenergic discharge related to aneurysm rupture. Cardiac and pulmonary complications are common after severe brain injury, especially the aneurismal subarachnoid hemorrhage. Acute neurogenic pulmonary edema is not exceptional; it may occur in 20% of cases and commonly follows a severe subarachnoid hemorrhage. Severe myocardial damage with cardiogenic shock may possibly reveal the SAH (3% of cases) and mislead to wrong diagnosis of ACS with dramatic therapeutic consequences. The contribution of CT and cerebral angiography is essential for diagnosis and treatment. Surgical or endovascular treatment depends on location, size and shape of the aneurysm, on patient's age, neurological status and existence of concomitant diseases. We report the case of a 58 years old patient, with a past medical history of diabetes and hypertension, admitted for acute pulmonary edema with cardiogenic shock. This case illustrates an unusual presentation of aneurismal SAH in a patient presenting with an acute coronary syndrome.

Le diaphragme sous aortique se caractérise par une certaine latence clinique et une faible morbi-mortalité. La chirurgie reste le traitement de choix malgré un réel risque de récurrence à long terme. Nous rapportons 18 patients opérés entre Avril 1994 et Mars 2011 pour diaphragme sous aortique d’âge moyen de 18,1±9,7 ans avec 11 patients de sexe masculin. Le diaphragme était de nature fibreuse chez 13 patients et fibro-musculaire chez 5 patients. Tous les patients ont été opérés par résection de diaphragme associée à une myectomie, une plastie aortique, une fermeture de communication interventriculaire et une ligature de canal artériel perméable respectivement chez 3, 3, 2 et 2 patients. La Mortalité opératoire était nulle et sans aucun cas de trouble de conduction postopératoire. Le suivi a duré en moyenne 44,3±36,8 mois sans aucun décès tardif. Deux patients ont présenté une récidive de diaphragme qui a nécessité une réopération avec bonne évolution. La tendance actuelle dans la chirurgie du diaphragme se fait vers des interventions précoces et des résections plus extensives. Cependant, le risque de récidive impose une surveillance échographique systématique et rapprochée.

Le ballon de contre pulsion intra-aortique (BCPIA) est fréquemment utilisé en chirurgie cardiaque, comme moyen d'assistance circulatoire en cas de bas débit cardiaque. Il est d'intérêt clinique de déterminer les facteurs pronostiques chez les patients porteurs d'un BCPIA en chirurgie cardiaque, et qui restent un sujet rarement élucidé dans la littérature. L'objectif de notre travail est de déterminer les facteurs prédictifs de morbi-mortalité chez les patients sous ballon de contre pulsion intraortique en périopératoire d'une chirurgie cardiaque. Il s'agit d'une étude rétrospective portant sur l'ensemble des patients opérés en chirurgie cardiaque sous circulation extracorporelle, et ayant bénéficiés de la mise en place d'un ballon de contre pulsion intra-aortique en périopératoire, au service de chirurgie cardiovasculaire de l'Hôpital Militaire Mohamed V de Rabat, entre le mois de janvier 2005 et le mois d'aout 20014. Soixante dix patients ont été inclus dans notre étude. En analyse univariée l'âge, la dyspnée de stade III et IV, l'insuffisance cardiaque, la présence d'un infarctus du myocarde, d'une coronaropathie mono et bitronculaire, les anomalies du doppler de trons supra-aortique et du membre inférieur, le caractère urgent de la chirurgie, la durée de la circulation extracorporelle, l'instabilité hémodynamique postopératoire, le saignement et l'insuffisance rénale postopératoire étaient statistiquement associés à une mortalité postopératoire élevée. La dyskinésie préopératoire et la sortie de circulation extracorporelle sous drogues étaient associées à une morbidité globale élevée. En analyse multi variée, seule l'âge, constituait un facteur de risque indépendant de mortalité dans notre série avec un Odds Ratio (OR): 1,89 ; un Intervalle de Confiance (IC) 95% de (1,52-4,97) et un p =0,045. Au terme de notre étude, le taux de mortalité était de 48,57% et de morbidité globale était de 87,1%. Il nous parait donc nécessaire pour diminuer l'incidence de cette morbimortalité dans notre population, d'agir sur les facteurs que nous jugeons modifiables tels l'amélioration de la fonction cardiaque préopératoire, l'optimisation de la fonction rénale, la réduction de la durée de CEC et le contrôle du saignement.

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