Visualizing and describing foster care placement pathways

Abstract

This paper introduces a flowchart-based methodology for describing the movement of foster youth in and out of placements of differing types and durations. This longitudinal methodology is designed to be sufficiently simple to appeal to policymakers and administrators seeking to chart the movement of groups of youth over time and the sequencing of their placements, and sufficiently descriptive to be of use to researchers seeking to predict the placement trajectories of subgroups of foster youth. The paper provides an example of the use of the method drawing upon state administrative data from a large study of preadolescent and adolescent youth in foster care situated in Oregon. Implications for the application of the methodology to different issues of interest to researchers, policymakers, and administrators are discussed.

Les trajectoires de placement menant à un milieu de vie permanent pour les enfants placés en milieu substitut

“…Autrement dit, les enfants placés ne constituent pas un bloc homogène. Ce résultat confirme ceux des études antérieures ayant cherché à identifier des patrons de trajectoires parmi les enfants placés (Andersen, 2014;Havelicek, 2010;Hébert et Lanctôt, 2016a;James et al, 2004;Kim et al, 2012;Villodas et al, 2016;McBeath et al, 2018;McGrath et al, 2020;Wulzcyn et al, 2003). La presque totalité de ces études ont identifié des profils à partir de la séquence des différents milieux de vie qui se succèdent au fil du temps, en tenant compte de leur durée.…”

“…Seul un petit nombre d'auteurs se sont récemment intéressés à la trajectoire de placement dans une perspective globale, c'est-à-dire en intégrant plusieurs attributs de la trajectoire de placement, en allant au-delà d'un simple cumul de déplacements ou de jours en placement. Certains y sont allés de manière descriptive ou graphique, avec l'objectif de décrire les trajectoires de placement observées (Kim et al, 2012;McBeath et al, 2018;Usher et al, 1999), ou ont tenté de classifier les trajectoires de manière inductive (James et al, 2004). La plupart ont considéré simultanément le nombre de placements, leur durée et le moment où ils surviennent, afin de reconstituer la séquence de placements de chaque enfant sur une ligne de temps.…”