“…D'abord, peu importe le secteur ou la région, la francophonie canadienne essaie d'attirer les immigrés francophones (CIC, 2003(CIC, , 2005 et relève le défi de se repenser en fonction de la mobilité, de la mondialisation et de la diversité qu'elle introduit (voir aussi Dagenais & Jacquet, 2000;Korazemo & Stebbins, 2001;Jedwab, 2002;Madibbo & Maury, 2002;Quell, 2002;Farmer, Chambon, & Labrie, 2003;Gallant & Belkhodja, 2005;Allen, 2006). Ensuite, on développe des ressources langagières commodifiées : nous constatons l'émergence du (ou plus souvent, de la) travailleur-se de la langue : traductrices, interprètes, pourvoyeurs de services communicationnels et informationnels, souvent multilingues ( …”