The Thromboembolic Risk in Giant Cell Arteritis: A Critical Review of the Literature

Abstract

Giant cell arteritis is a systemic vasculitis characterized by granulomatous inflammation of the aorta and its main vessels. Cardiovascular risk, both for arterial and venous thromboembolism, is increased in these patients, but the role of thromboprophylaxis is still debated. It should be suspected in elderly patients suffering from sudden onset severe headaches, jaw claudication, and visual disease. Early diagnosis is necessary because prognosis depends on the timeliness of treatment: this kind of arteritis can be complicated by vision loss and cerebrovascular strokes. Corticosteroids remain the cornerstone of the pharmacological treatment of GCA. Aspirin seems to be effective in cardiovascular prevention, while the use of anticoagulant therapy is controversial. Association with other rheumatological disease, particularly with polymyalgia rheumatica is well known, while possible association with antiphospholipid syndrome is not established. Large future trials may provide information about the optimal therapy. Other approaches with new drugs, such as TNF-alpha blockades, Il-6 and IL-1 blockade agents, need to be tested in larger trials.

Manifestations atypiques de l’artérite à cellules géantes : un défi pour le chirurgien-dentiste. Cas clinique et revue de la littérature

“…L'incidence de la maladie est variable d'une région géographique à l'autre (de 3,5 à 40 nouveaux cas par an pour 100 000 personnes), avec un gradient géogra-phique nord-sud, l'Amérique du Nord et l'Europe étant les régions les plus concernées [4,5]. L'étiologie de l'ACG est inconnue, mais plusieurs facteurs sont évoqués (prédisposi-tion génétique, exposition solaire, exposition à certains agents infectieux) [2].…”

“…d'un épaississement endothélial, des sténoses et des occlusions qui conduisent à des phénomènes d'ischémie et de nécrose dans les territoires de distribution des vaisseaux concernés [5].…”

“…Le plus souvent, l'évolution de l'ACG est progressive sur plusieurs semaines, à l'exception des complications ophtalmologiques (dont la cécité) qui peuvent s'installer de façon brutale [4,5].…”

“…Chez 40 à 60 % des patients, l'ACG peut être associée avec d'autres pathologies rhumatologiques, notamment avec la polymyalgie rhizomélique, caractérisée par des douleurs au niveau des ceintures scapulaire et pelvienne [2,4,5]. Les symptômes généraux (fièvre modérée, anorexie, perte pondérale et asthénie), bien que non spécifiques de l'ACG, sont présents chez 75 à 90 % des patients.…”

“…La plupart des patients présentent des manifestations cliniques typiques (céphalée, tension douloureuse du scalp, induration des artères temporales, troubles visuels, claudication des mâ-choires, polymyalgie rhizomélique...) [2,4,5]. Outre le tableau typique de la maladie, des douleurs non-spécifiques et mal définies de la sphère oro-faciale peuvent amener le patient à consulter le chirurgien-dentiste en première intention [6][7][8].…”