The Special Issue on Prevention of Violence Ignores the Primordial Violence

Corporal punishment by parents and child-to-parent aggression in Spanish adolescents

“…34, nº 1 (january) cause empirical evidence has shown the link between CP and negative consequences in the short and long term. For instance, CP has been associated with a greater likelihood of aggressive and antisocial behavior (Berlin et al, 2009;Gámez-Guadix, Straus, & Hersberguer, 2011;Straus, 2001Straus, , 2008Gámez-Guadix, Straus et al, 2010;Simons, Simons, & Wallace, 2004). Paolucci and Violato (2004), in a metaanalysis of 70 studies, found that children who had received CP demonstrated significantly more behavioral problems.…”

Psychological Impact and Treatment of Physical Abuse of Children

“…26,28 Other research suggests that experiencing CPA leads to increased risks of suicidality, 29 suicide attempts, and general mental health problems. As noted by Straus,15 about two thirds of all cases of CPA begin as CP, which escalates into abusive behavior. 10 In many cases, it is difficult to determine when an incident involving physical force by a caregiver represents actual CPA or extreme parent-to-child discipline (e.g., beating vs. spanking/slapping), which often blurs the distinctions among abusive, subabusive, or nonabusive behavior.…”

“…17 As for internalizing disorders, the most frequently documented consequence of CPA exposure is depression. 15 Although CP is not tantamount to child abuse, the line between abusive and proper discipline often remains obscure. 30 judgment process that seeks to integrate several socialdemographic details (e.g., risk factors, safety issues) with the child's physical/medical status and severity of injury.…”

En réponse à…. Paquette, D., Bigras, M., & Crepaldi, M.A. (2010). La violence : un jugement de valeur sur les rapports de pouvoir. Revue de psychoéducation, 39 (2), 247-276

“…D'autres chercheurs distinguent, pour leur part, la violence physique mineure de la violence physique sévère sur la base de ce même argument. Pour eux, la punition corporelle est une forme de violence physique considérée mineure parce qu'elle est socialement et légalement acceptée (Clément, 2009;Straus, 2008;Wauchope & Straus, 1990). Enfin, de nombreux chercheurs axent leur définition de la violence familiale selon la présence d'impact sur les victimes, incluant ainsi tout le spectre des manifestations possibles (physique, sexuelle, psychologique) (Barnett, Miller-Perrin, & Perrin, 2005).…”

“…La punition corporelle est généralement définie comme un acte physique qui est socialement et légalement accepté et commis par un adulte en situation de pouvoir, peu importe son intention, dans le but d'entraîner une douleur ou un malaise physique chez un enfant et ce, afin de corriger ou de contrôler un comportement jugé indésirable (ex. : taper les fesses de l'enfant, le pincer, le secouer) (Clément et al, 2000;Durrant & Ensom, 2004;Gershoff, 2002;Straus, 2001Straus, , 2008. En outre, le caractère « mineur » de la punition corporelle comme forme de violence est appelé à évoluer, tout comme la considération de l'intérêt et des droits de l'enfant et de l'état des connaissances quant à l'efficacité de cette méthode ou à ses effets potentiellement néfastes.…”