“…Mais, en contrepartie, comme l'ont démontré les travaux de Newman et Wyly (2006), les résidants traditionnels craignent que ces transformations physiques provoquent des pressions immobilières importantes entraînant leur départ ou celui de voisins, d'amis ou de membres de la famille. En quittant le quartier, ils peuvent rompre le fragile équi-libre de support mutuel qui s'y est construit au fil des ans (Newman et Wyly, 2006 †;voir aussi Lees, 2008). Dans ces conditions, il est tentant de considérer que ces transformations dépossèdent les résidants traditionnels du quartier de leur sentiment de chez-soi, ce qui constituerait une forme de déplacement forcé (Newman et Wyly, 2006 †;Atkinson et Wulff, 2009).…”