“…N'en vient-il pas à émettre l'hypothèse que «la dynamique gestuelle entre deux personnages principaux détermine la direction narrative du roman» (Amprimoz, 1982, p. 134) 1975, p. 80) auxquels il participe; d'autre part, parce que la critique qui, à l'unanimité, définit ce personnage comme LE personnage aliéné par excellence semble avoir oublié de considérer la part que pourrait prendre ou non, dans son aliénation, le langage corporel. En effet, la plupart des études portant exclusivement sur Alexandre Chenevert s'emploient à reconstituer la psychologie du protagoniste qui, selon les interprétations, subit ou non, au cours du récit, une transformation positive dans laquelle l'épisode du lac vert joue un rôle déterminant (Bellemare, 1991;Bessette, 1973;Bessette et Montaut, 1982;Brotherson, 1981Brotherson, , 1991drummond, 1990greenstein, 1977;Jones, 1982;Murphy, 1965;Socken, 1984Socken, , 1987Whitfield, 1974). Les chercheurs qui, eux, ne s'intéressent pas particulièrement au personnage se tournent vers la société du texte (Chassay, 1995;Kwaterko, 1994).…”