The effects of long-term administration of bovine growth hormone on the lactational performance of identical-twin dairy cows

Abstract

The effect of chronic administration of bovine growth hormone (GH) on milk production, food intake and live-weight change was evaluated in five sets of monozygotic twin cows on pasture. Purified bovine pituitary GH (specific activity, 0·78 IU/mg) was administered by daily subcutaneous injections (39 IU/day) for a period of 22 weeks (weeks 5 to 26 of lactation). GH treatment resulted in significantly higher yields of milk (23·3 kg/day), fat (0·97 kg/day), protein (0·74 kg/day) and lactose (115 kg/day) compared with the control group (19·8 kg/day, 0·79 kg/day, 0·63 kg/day, 0·99 kg/day). Milk composition did not differ between treatment groups. There was no difference in the intake of cut grass in week 8 but the voluntary intake of the GH group had increased by week 22 (controls, 15·4 kg dry matter (DM) per day and GH group, 17·5 kg DM per day). There were no differences in the rate of live-weight change for the two groups. Serum somatomedin concentrations were significantly elevated in the GH group on weeks 20 to 22 of treatment (0·043 v. 0·135 U/ml). This experiment indicates that cows chronically treated with GH were able to adjust their food intake upwards to sustain a substantial increase in milk production on a diet composed solely of grass.

Revue bibliographique : Variations quantitatives et métabolisme des lipides dans les tissus adipeux et le foie au cours du cycle gestation-lactation 2e partie : chez la brebis et la vache

“…Une médiation de tel ou tel effet par les somatomédines est probable (Peel et al, 1985). Quoi qu'il en soit, le métabolisme du tissu adipeux semble s'adapter aux variations du méta-bolisme mammaire ou global de l'animal, plutôt que les précéder.…”

“…Des injections d'hormone de croissance pendant une longue durée entraînent par ailleurs une forte augmentation du niveau d7ngestion Peel et al, 1985), permettant à l'animal de ne pas épuiser ses réserves corporelles. Une tendance à la lipomobilisation a toutefois été observée dans certaines expériences de longue durée (Soderholm et al, 1986a, b Emery, 1973 ;Convey, 1974 ;Patterson et Linzell, 1974 ;Bauman, 1976 ;Swan, 1976 ;Coggins et Field, 1978 ;Hart et al, 1978Hart et al, , 1979Miller et al, 1978 ;Cowie et al, 1980 ;Walsh et al, 1980 ;Trenkle, 1981 ;Blum et al, 1982Blum et al, , 1983Blum, 1983, Mc Dowell, 1983Bitman et al, 1984b ;Collier et al, 1984 ;Refsal et al, 1984 ;Aceves et al, 1985 ;Akasha et al, 1985 ;Frohli et Pethes et al, 1985 ;Plaut et al, 1985 ;Thilsted, 1985b ;Bauman et Mc Cutcheon, 1986 ;Gerloff et al, 1986bJ. Les réponses de la sécrétion d'hormone de croissance à la sous-alimentation (revue de Vernon, 1980) ou à la gestation (Koprowski et Tucker, 1973) (Collier et al, 1984).…”

Rôles et mécanismes d'action de la somatotropine (hormone de croissance) chez le ruminant en lactation

“…On dispose des résultats publiés de 3 essais utilisant de l'hormone hypophysaire (Brumby et Hancock, 1955 ;Machlin, 1973 ;Peel et al, 1985), ainsi que d'un essai utilisant de l'hormone obtenue par recombinaison génétique (« somatotropine recombinée ») . Un Hutchison et al, 1986) qui possède un résidu méthionine supplémentaire, qu'avec l'hormone naturelle.…”

“…Ceci n'est toutefois pas le cas dans d'autres essais de longue durée (Brumby et Hancok, 1955 ;Peel et al, 1985 ;Soderholm et al, 1986b ;Chalupa et al, 1987a ;McGuffey et al, 1987a ;Thomas et al, 1987 (Machlin, 1973 ;Peel et al, 1985) malgré de fortes augmentations de production laitière relativement à l'augmentation du niveau d'ingestion. Des pertes de poids ont par ailleurs été observées chez les vaches traites trois fois par jour, dont l'augmentation d'ingestion ne couvre pas les besoins liés au lait supplémentaire (De Peters et al, 1985).…”

“…pas modifiées chez les vaches recevant de la somatotropine (Lough et al, 1986), alors que l'activité de l'acétyl-CoA synthétase est augmentée chez la chèvre (Marinez et al, 1976 Baumrucker, 1986 ;Dehoff et al, 1986) et ovin (Disenhaus et al, 1988) (Baumrucker, 1986a, b ;Disenhaus et al, 1988). Les (Peel et al, 1981(Peel et al, , 1985 ou légèrement diminués (Tyrrell et al, 1982 ;Eisemann et al, 1986a) (Tyrrell et al, 1982 McDowell et al, 1983 ;Chalupa et al, 1984b), mais pas lorsque ce bilan est négatif (Peel et al, 1981 ;Tyrrell et al, 1982 ;McDowell et al, 1983 Chilliard, 1987 ; Hart et al, 1984 ;Chilliard, 19871. Si l'on excepte un effet lipogéniqu!…”