2000. A study on the variation of feed efficiency in station tested bulls. Can. J. Anim. Sci. 80: [435][436][437][438][439][440][441]. The records of 282 young beef bulls from eight breeds tested from November 1981 to April 1987 at the Ellerslie Bull Test Station, Alberta, Canada, were used to study the variation in feed efficiency among young performance-tested bulls. Considerable variation existed among the animals in both residual metabolizable energy consumption and residual dry matter consumption. The heritability estimates for residual metabolizable energy consumption and residual dry matter consumption were 0.33 and 0.29, respectively. In addition, residual metabolizable energy consumption and residual dry matter consumption were moderately correlated (r = 0.43) with conventional feed-to-gain ratio, indicating that conventional feed-to-gain ratio only accounted for 18% of the variation in residual metabolizable energy consumption or residual dry matter consumption. It was, therefore, worthwhile to use residual metabolizable energy consumption or residual dry matter consumption as separate measures of feed efficiency. For rapid improvement in feed efficiency in beef cattle, selection pressure should be applied to both growth traits and residual energy consumption or residual dry matter consumption. Multi-trait optimum restricted selection indices and similar selection procedures may serve as useful means in balanced selection programs to improve the productivity of beef cattle.Key words: Feed efficiency, residual ME consumption, beef bulls Liu, M. F., Goonewardene, L. A., Bailey, D. R. C., Basarab, J. A., Kemp, R. A., Arthur, P. F., Okine, E. K. et Makarechian, M. 2000. Étude de la variabilité de l'efficacité alimentaire chez les taureaux à viande testés en station. Can. J. Anim. Sci. 80: 435-441. Les fiches de 282 taurillons de 8 races de type à viande testés de novembre 1981 à avril 1987 à la station d'Ellerslie (Alberta) ont servi à un examen de la variation de l'efficacité alimentaire manifestée parmi les taurillons. Nous avons ainsi pu observer un degré élevé de variation de la consommation résiduelle, à la fois d'énergie métabolisable et de matière sèche parmi les animaux. Les valeurs d'héritabilité pour les deux caractères étaient respectivement, de 0,33 et 0,29. En outre, les deux caractères affichaient une corrélation modérée (r = 0,43) avec l'indice de consommation classique, démontrant que ces derniers indices ne prenaient en compte que 18 % seulement de la variation affectant les deux facteurs de consommation résiduelle. Il vaut donc la peine d'utiliser l'un ou l'autre de ces facteurs séparément comme mesure de l'efficacité alimentaire. Si l'on veut améliorer rapidement l'efficacité alimentaire chez les bovins à viande, la sélection devrait porter à la fois sur les caractères de croissance et sur la consommation résiduelle d'énergie ou celle de matière sèche. Les indices composites de sélection restreinte optimale ou de techniques de sélection du même genre seraient des outils utiles dans les p...