Symbols and Contexts: An Interactionist Approach to the Study of Social Status

Abstract

This article proposes an interactionist framework for the study of status stratification. This framework returns the focus of status research to how status works, especially emphasizing the symbolic and contextual aspects integral to the concept. By closely examining how status is indicated, how it is employed, and how it is maintained or changed over time, an interactionist approach provides an explanation on how status affects both individual and organizational behavior-an explanation that is currently lacking in status research. In addition, the development of this framework provides an argument against critics of interactionism who question whether this perspective can contribute to the study of social stratification. This article makes evident that status stratification, with its intimate ties to the symbols and contexts, proves to be an area of study ideally suited to the interactionist perspective.

Status Distinctions in Interaction: Social Selection and Exclusion at an Elite Nightclub

“…Despite the fact that status pervades social life and social outcomes, there is a striking lack of empirical research addressing how status processes operate in naturalistic social settings (see Gambetta and Hamill 2005;Sauder 2005). Sociometric research has shown that individuals can identify with a surprising amount of accuracy who does and does not have status in their social environment.…”

Les enseignants et le renouveau collégial au Québec : analyse interactionniste de la construction et de la négociation du sens d’un changement de pratique prescrit

“…Ces symboles peuvent affecter les interactions sociales au sein d'un groupe, voire modifier les intentions d'une prescription ministérielle (Sauder, 2005). Dans le cas présent, l'interprétation de l'épreuve synthèse comme objet de prestige explique l'insistance répétée du coordonnateur à mettre en place des mécanismes qui assurent la « performance publique » des étudiants.…”

“…Dans le cas présent, l'interprétation de l'épreuve synthèse comme objet de prestige explique l'insistance répétée du coordonnateur à mettre en place des mécanismes qui assurent la « performance publique » des étudiants. Ce symbole incarne non seulement les expériences quotidiennes de ces enseignants, il les façonne également (Sauder, 2005).…”

“…Elle demande une attention particulière à la culture relationnelle du groupe concerné qui se définit par les formes de communication et l'historique qui régit les interactions entre les membres (Morrissette, 2010). Cette culture induit les symboles observables qui sont créés et communiqués par les acteurs et qui permettent une compréhension et une utilisation partagées pour guider leur action (Sauder, 2005). Autrement dit, ces symboles émergent, se négocient et se transforment au fil du temps au travers des nombreuses interactions entre les membres.…”

“…Or, si la cohésion et la collaboration entre les enseignants de différentes disciplines s'opèrent difficilement, il est possible que l'épreuve synthèse ne donne pas les effets escomptés. En examinant la manière dont les enseignants utilisent un symbole au quotidien, il est possible d'en démontrer la force (Sauder, 2005 Paul corrobore ces propos en expliquant que l'épreuve synthèse est devenue au cours des années un événement « vraiment officiel ». Des invitations sont envoyées par la poste à différents représentants des universités, du consulat et d'écoles secondaires.…”