Studies in the Growth of Young Plants of Pinus sylvestris L.

Sands, K.; Rutter, Allison

doi:10.1093/oxfordjournals.aob.a083654

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“…It has been long known that physiological performance and growth of conifer seedlings in pots can be reduced at relatively high soil water contents; e.g., soil water potential of -30, kPa for Pinus sylvestris L. (Sands and Rutter 1959), and -200 kPa for Pinus taeda L. (Stransky and Wilson 1964), which may be also the case for field-grown Douglas-fir [Pseudotsuga menziesii (Mirb.) Franco] (Roberts et al 2005), a major timber tree species in the Pacific Northwest region of the United States.…”

Section: Introductionmentioning

confidence: 99%

Vegetation control effects on untreated wood, crude cellulose and holocellulose δ13C of early and latewood in 3- to 5-year-old rings of Douglas-fir

Ares

Harrington

Terry

et al. 2008

Trees

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The stable carbon (C) composition of tree rings expressed as (513C, is a measure of intrinsic water-use efficiency and can indicate the occurrence of past water shortages for tree growth. We examined (513C in 3-to 5-year-old rings of Douglas-fir (Pseudotsuga menziesii (Mirb) Franco) trees to elucidate if decreased water supply or uptake was a critical factor in the observed growth reduction of trees competing with understory herb and shrub vegetation compared to those growing without competition. We hypothesized that there would be no differences in (5 l3C of early wood in trees growing in plots with competing vegetation and those in plots receiving complete vegetation control during 5 years because earlywood formed early in the growing season when soil water was ample. We also hypothesized that (513C in latewood which was formed during the later half of the growing season when precipitation was low, would be greater (less negative) in trees in plots without vegetation control. We then separated early and latewood from rings for three consecutive years and analyzed their (513C composition. No significant differences in earlywood (513C in years 3-5 were observed for trees in the two vegetation control treatments. We also compared (513e from untreated wood, crude cellulose extracted with the Diglyme-HCI method, and holocel1ulose extracted with toluene-ethanol to see if the extraction method would increase the sensitivity of the analysis. (5 l3C values from the two extraction methods were highly correlated with those from untreated samples (,J-= 0.97, 0.98, respectively). Therefore, using untreated wood would be as effective as using crude cellulose or holocellulose to investigate (5l3C patterns in young Douglas-fir.

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Section: Introductionmentioning

confidence: 99%

Vegetation control effects on untreated wood, crude cellulose and holocellulose δ13C of early and latewood in 3- to 5-year-old rings of Douglas-fir

Ares

Harrington

Terry

et al. 2008

Trees

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“…Quels sont les pF du sol à partir desquels la transpiration est ralentie ? Cette question fait encore l'objet des propositions les plus contradictoires (Stransky et Wilson, 1964 ;Sands et Rutter, 1959 ;Jarvis et Jarvis, 1963 ;Zavitkovski et Ferrell, 1968 ;Negisi et Satoo, 1954 ;Clark, 1961 ;Allmendiger et al, 1943 ;Lopushinsky et Klock, 1974). Quelle est la valeur au-delà de laquelle la survie de la plante est compromise ?…”

Section: -Introduction Et Objectifsunclassified

Contribution à l'étude de la transpiration et de l'adaptation à la sécheresse des jeunes plants résineux Exemple de 3 sapins du pourtour méditerranéen (Abies alba, A. Nordmanniana, A. numidica)

Becker¹

1977

Ann. Sci. forest.

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RésuméL'expérience a porté sur 3 espèces de sapins de réputation croissante pour l'adaptation à la sécheresse (Sapin pectine, S. de Nordmann, S. de Numidie). Menée sur 60 semis de 2 ans, elle s'est poursuivie sur 2 an nées consécutives. Trois modalités de régime hydrique ont été imposées en 1 re année: aucune restriction (mod. 1), sécheresse accusée à partir de l'été (mod. 2) ou du printemps (mod. 3) ; seule la modalité 1 a été appliquée en 2 e année. Les plants étaient installés dans des pots étanches permettant des restitutions contrôlées d'eau, et la transpiration a été suivie régulièrement par la méthode gravimétrique.Les principaux résultats sont les suivants : -Confirmation de l'existence d'un rythme saisonnier de la transpiration (en mod. 1) indépen-dant des surfaces foliaires et du pouvoir évaporant de l'air (max. en août). Le caractère endogène du phénomène n'est pourtant pas acquis, et la température pourrait également être mise en cause.-La transpiration est optimale jusqu'à environ pF 3,2, au delà duquel se manifeste une chute brutale des taux. Cette valeur apparaît générale chez les résineux (Becker, 1970(Becker, , 1974. Par ailleurs, toutes les espèces survivent à des pF très supérieurs à 4,2 pendant de nombreux mois.-La sécheresse a une incidence directe dès la 1 re année sur la croissance racinaire et, à un degré moindre, sur la croissance en diamètre. La croissance en longueur n'est pratiquement pas touchée. Les autres effets ne se manifestent qu'au cours de la 2° saison : retard au débourrement pouvant atteindre 15 jours, diminution très nette du nombre d'aiguilles (provenant donc d'une réper-cussion en première année sur les bourgeons), croissance en longueur très amoindrie. Croissance en diamètre et croissance racinaire par contre retrouvent un niveau normal. Ces résultats s'expliquent par comparaison de la phénologie des divers organes avec la période de sécheresse accusée.-La notion d'adaptation à la sécheresse est discutée. Dans le cas des espèces étudiées, elle apparaît beaucoup plus liée à un bon synchronisme entre les divers stades phénologiques et les cycles climatiques moyens de la région où elles sont installées, qu'à des adaptations morphologiques spé-cialisées ou des propriétés physiologiques particulières des tissus. Cependant, dans le cas des sapins étudiés, un rapport « racines/parties aériennes » élevé se confirme être un bon critère d'adaptation, ainsi que l'efficience de l'eau transpirée (matière sèche fixée/eau transpirée) : valeur plus élevée lorsque l'humidité est optimale, et plus faible en cas de sécheresse, traduisant une régulation plus vigoureuse face aux conditions ambiantes.Article disponible sur le site http://www.afs-journal.org ou http://dx

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Der Wasserhaushalt von Fichte in Abhängigkeit von Boden und Atmosphäre

Hetsch

Heilig

1981

J Plant Nutrition & Soil

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Anhand einfacher Beobachtungen des Wasserhaushalts von eingetopften Fichten sowie Messungen im Freiland wird versucht, die Zusammenhänge zwischen dem Pflanzenwasserpotential und dem Wasserpotential von Boden und Atmosphäre zu diskutieren. Bei feuchtem Boden bestimmt die Atmosphäre den Wasserhaushalt der Fichten. Je höher der Verdunstungsanspruch der Atmosphäre wird und je geringer die hydraulische Leitfähigkeit im Boden, um so schwieriger wird es für die Pflanze, entstehende Wassergehaltsverluste wieder aufzufüllen. Sie muß damit ihre potentiell mögliche Transpirationsrate zunehmend einschränken. Für kurzfristige Betrachtungen kommt damit dem pflanzeninternen Wasserspeicher eine besondere Bedeutung zu. Dieser Speicher gibt die Größenordnung einer Wasseraufnahme über die Blattorgane an, deren prinzipielle Möglichkeit durch verschiedene Beobachtungen wahrscheinlich gemacht werden kann.

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Studies in the Growth of Young Plants of Pinus sylvestris L.

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Vegetation control effects on untreated wood, crude cellulose and holocellulose δ13C of early and latewood in 3- to 5-year-old rings of Douglas-fir

Vegetation control effects on untreated wood, crude cellulose and holocellulose δ13C of early and latewood in 3- to 5-year-old rings of Douglas-fir

Contribution à l'étude de la transpiration et de l'adaptation à la sécheresse des jeunes plants résineux Exemple de 3 sapins du pourtour méditerranéen (Abies alba, A. Nordmanniana, A. numidica)

Der Wasserhaushalt von Fichte in Abhängigkeit von Boden und Atmosphäre

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