“…Il est d'ailleurs un peu dommage que les travaux des équipes européennes soient peu ou pas cités dans l'article de R. Schreiber, ni d'ailleurs dans l'éditorial qui lui est associé et qui semble découvrir le sujet ; cela aurait aidé les lecteurs à identifier les éléments spécifiquement nouveaux apportés par ce modèle [10]. Il n'en reste pas moins que l'écho trouvé par ce travail va susciter la mise au point de nombreux nouveaux modèles de dormance tumorale, contribuer à l'expansion rapide de la thématique, comme en témoignent les excellentes revues générales récemment publiées [1], et conforter le dynamisme des recherches dans le domaine de l'immunothérapie [11,12]. …”