Saving Face: Applying a Systemic Approach to Domestic Violence

What Couples Say Works in Domestic Violence Therapy

“…Above all, I have learned, beyond theoretical discussion, about being respectful. I have learned through hearing the couples' complex stories of stress, tension, violence, and love that they strive for a sense of validation and dignity and that our work needs to help them save face (Singer, 1997) in spite of the awful maltreatment. I learned that I can "do" respect for their humanness.…”

La violence contre l'épouse: Les traitements de couple sont-ils appropriés?

“…Ces modèles varient toutefois grandement quant au chevauchement de ces deux étapes ainsi qu’à leur format. Pour certains, la première étape est conjointe dès le départ (Geller & Wasserstrom, 1982; Gutsche & Murray, 1991; Lane & Russell, 1989; Mack, 1989; Rothman, & Munson, 1987; Singer, 1997; Taylor, 1984; Weitzman & Dreen, 1982), alors que d’autres auteurs accordent plus de temps à la première étape et choisissent de voir les deux partenaires individuellement (Bedrosian, 1982; Cook & Frantz-Cook, 1984; Gauthier & Levendosky, 1996; Geffner et al, 1989; Gerbi, 1994; Goldner, Penn, Sheinberg & Walker, 1990; Harris, 1986; Jenkins, 1990; Lipchik, 1991; Mones & Panitz, 1994; Neidig & Friedman, 1984; Steinfeld, 1989; Weidman, 1986).…”

“…Plusieurs modèles suggèrent la thérapie conjointe sans mentionner de contre-indications (Bedrosian, 1982; Deschner et al, 1986; Gerbi, 1994; Geller & Wasserstrom, 1982; Jenkins, 1990; Singer, 1997; Weidman, 1986) ou offrent des critères d’exclusion qui sont plutôt vagues (Lane & Russell, 1989; Weitzman & Dreen, 1982). De plus, bien que plusieurs modèles suggèrent la nécessité d’évaluer avec soin la sévérité et la fréquence de la violence (e.g., Cook & Frantz-Cook, 1984; Harris, 1986), six modèles seulement font la distinction entre la violence mineure et sévère pour exclure les hommes avec une violence sévère de leur traitement (Gauthier & Levendosky, 1996; Geffner et al, 1989; Lipchik, 1991; Mack, 1989; Neidig, Friedman & Collins, 1985; Taylor, 1984).…”

“…Il est troublant de constater que la majorité des modèles conjoints ne prévoient aucune session individuelle avec la femme (Bedrosian, 1982; Geller & Wasserstrom, 1982; Gutsche & Murray, 1991; Lane & Russell, 1989; Mack, 1989; Neidig & Friedman, 1984; Rothman & Munson, 1987; Taylor, 1984; Weitzman & Drenn, 1982). En effet, seulement les modèles de Cook et Frantz-Cook (1984), Deschner et al (1986), Gauthier et Levendosky (1996), Harris (1986), Jenkins (1990), Leeder (1994), Lipchik et al (1997), et Mones et Panitz (1994) combinent les sessions individuelles aux sessions conjointes; les modèles de Geffner et al (1989) et Weidman (1986) effectuent uniquement l’évaluation en session individuelle; et les modèles de Goldner et al, (1990), et Steinfeld (1989), en utilisent en cas de crise ou au besoin (Gerbi, 1994; Singer, 1997).…”

“…Comme il a été présenté plus haut, les modèles conjoints varient grandement sur la question d’assignation de la responsabilité pour la violence. Certains modèles l’attribuent clairement à l’homme (Bedrosian, 1982; Cook & Frantz-Cook, 1984; Gauthier & Levendosky, 1996; Geller & Wasserstrom, 1982; Goldner et al, 1990; Harris, 1986; Jenkins, 1990; Lipchik & Kubicki, 1996; Mones & Panitz, 1994; Steinfeld, 1989; Taylor, 1984: Weidman, 1986) alors que d’autres négligent d’aborder cet aspect (Deschner, 1984; Mack, 1989) ou décrivent le fonctionnement du couple de façon à responsabiliser subtilement la femme pour sa victimisation (Geffner et al, 1989; Geller & Wasserstrom, 1982; Gerbi, 1994; Gutsche & Murray, 1991; Lane & Russell, 1989; Neidig & Friedman, 1984; Rothman & Munson, 1987; Singer, 1997; Stulberg, 1989; Weitzman & Dreen, 1982). Le couple y est alors décrit comme étant une unité dynamique avec des patrons et des réactions interdépendantes; chacun contribue à l’escalade de la colère et doit prendre la responsabilité de tout comportement qui précipite ou renforce le cycle d’abus.…”