Routine follow-up after treatment for ovarian cancer in the United Kingdom (UK): Patient and health professional views

Follow-Up of Patients Who Are Clinically Disease-Free after Primary Treatment for Fallopian Tube, Primary Peritoneal, or Epithelial Ovarian Cancer: A Program in Evidence-Based Care Guideline Adaptation

“…Twelve full-text studies constituted the evidence base for t he present g u ideline : one rct of c a125 i n fol low-up 15 ; five retrospective cohort studies on methods of detection [16][17][18][19][20] ; two pilot studies 21,22 ; and four qualitative or observational studies of psychosocial concerns, health care provider and patient preferences or satisfaction, and patterns of care [23][24][25][26] . Eleven of those studies fell within the scope of our guideline; one study about sexual symptomatology was out-of-scope 22 …”

“…Other potential benefits include prompt identification of women who could be candidates for open clinical trials and the opportunity to discuss the importance of genetic testing and familial counselling. In addition, some patients may view appointments as reassuring 25 .…”

Peur de la récidive : Étude de l’expérience vécue par les survivantes du cancer des ovaires

“…Les douze femmes ont dit ressentir de l'appréhension et de l'anxiété avant leurs visites de routine, ce qui intensifiait leur PRC; nos résultats concordent donc avec ceux de la littérature (Lebel et al, 2014;Lewis et al, 2009b;Reb, 2007). En outre, à l'instar des recherches antérieures, les participantes de cette étude ont rapporté des symptômes tels qu'insomnie, irritabilité, sautes d'humeur, larme facile, dépression et troubles de concentration et de mémoire (Beaver et Luker, 2005;Lydon, Beaver, Newbery et Wray, 2009;Ozga et al, 2015;Pennery et Mallet, 2000). Manifestement, les semaines précé-dant les rendez-vous de suivi représentent une période vulné-rable pour les survivantes du cancer des ovaires.…”

“…Voilà donc une preuve de la nécessité des visites de suivi, qui permettent aux survivantes d'exprimer leurs besoins psychosociaux, très élevés dans ces moments (Lewis et al, 2009a(Lewis et al, , 2009bLydon et al, 2009), et donnent à l'équipe de soins l'occasion de soutenir les patientes. Toutefois, il semble que les cliniques d'oncologie achalandées n'aient pas les ressources qu'il faut pour aborder ces problèmes.…”

“…En d'autres termes, elles essaient de prendre en main efficacement les soins quotidiens qu'exige leur condition, devenue chronique (Lorig et Holman, 2003). Dans une étude qualitative examinant le point de vue des professionnels de la santé et des participants sur le traitement de suivi du cancer des ovaires, les récits des cliniciens ont révélé que les patientes sont tout à fait capables de prendre le contrôle de leur maladie en pratiquant l'autogestion, mais elles doivent pour cela recevoir l'édu-cation, le soutien et l'accompagnement nécessaires en temps opportun (Lydon et al, 2009). L'une des études a montré que les stratégies d'autogestion, mises en place à différents stades de la maladie, réduisaient au minimum les effets du cancer des ovaires et du traitement; elles permettaient également de gérer les préoccupations relatives à la santé psychosociale, dont la PRC (McCorkle et al, 2009).…”