“…La réaction des aristocrates siennois, en équilibre précaire face à une situation qu'ils ne pouvaient pas ne pas subir, fut de louvoyer habilement entre le vieux et le neuf, sans se ruiner, mais en cherchant à chaque étape le meilleur point d'équilibre 34 . Evangelisti 2006 ;Medioli 2006 ;Zarri 1986. 36 Biaganti 1985pour Rome, voir Armando 2000 ;Ranzato 1994. chemin du monastère siennois de San Girolamo di Campansi où étaient déjà moniales professes une tante, Soeur Maria Pulcheria, et une grand-tante (soeur d'Alexandre VII), Soeur Agnese.…”