“…Si l'étude de Bialystok et al (2004) sur des participants âgés de 30 à 88 ans démontre que les bilingues, notamment chez les participants âgés, ont une plus grande capacité que les monolingues à inhiber une des deux langues selon la situation de communication, celle menée par Duñabeitia et al (2014) (Beacco et Byram, 2007, p.18). En dépit de certaines critiques que le champ a reçues (voir notamment Maurer, 2011), il a indéniablement contribué à l'émergence de nouvelles façons d'appréhender la diversité linguistique et culturelle à l'école et de contribuer à une meilleure relation école-famille (Candelier, 2003 ;Nocus et al, 2007 ;Cummins et Early, 2011 ;Hélot et Rubio, 2013 ;Bigot et al, 2013 ;Egli Cuenat, 2015 ;Krüger et al, 2016 ;Auger et al, 2018 ;Duarte et al, 2020 ).…”