Régénération naturelle et sylviculture. Propositions pour la forêt guadeloupéenne

Labbé, P.; Voisin, Louis-Marie

doi:10.4267/2042/26091

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“…Large-scale impact of the hurricane on the primary forest was assessed in three plots of 1 ha each (Choisy, Jules, La Digue) and two plots of 8 ha (Douville 1 and 2), which have been monitored since 1980 and served as control plots for sylvicultural experiments (Ducrey & Labbe 1985Labbe & Voisin 1990). The altitudes of the plots range from 250 to 450 m. Most parts of the plots are on oxisols, except for La Digue where the forest grows on andisols.…”

Section: The Lower Montane Rainforestmentioning

confidence: 99%

Hurricane damage and forest structure in Guadeloupe, French West Indies

Imbert

Labbé²,

Roustéau

1996

J. Trop. Ecol.

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A comparative study of the damage caused by Hurricane Hugo on the three main types of forest in the lesser Antilles was carried out in the mangrove forest, the semi-evergreen forest and the rainforests of Guadeloupe. Hurricane impact on these forests showed at first that high canopy trees generally prevented understorey trees from heavy direct damage (shield effect). In the species-poor, structurally homogeneous stands, in the mangrove forest, species' susceptibility was the major determinant in both intensity and type of damage. Damage was heavy in places and showed a certain spatial uniformity. In the rainforest, the high structural complexity of the vegetation generally induced a great variability in the spatial distribution of damage even at a small scale. Due to the presence of tall trees, indirect damage was locally very heavy. Clumps of large trees formed resistant structures which diminished lethal damage below the main canopy (cluster effect). In such a highly structured, species-rich forest, species' susceptibility was concealed at the local scale by the prevailing influence of vertical structure. Because of its relatively rich flora but low stature, the semi-deciduous forest exhibited intermediate patterns of damage. It was concluded that floristic composition and forest structure help to explain, and to predict, hurricane damage to forest cover.

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Section: The Lower Montane Rainforestmentioning

confidence: 99%

Hurricane damage and forest structure in Guadeloupe, French West Indies

Imbert

Labbé²,

Roustéau

1996

J. Trop. Ecol.

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Impact du cyclone Hugo sur les peuplements de forêt dense humide à la Guadeloupe

Labbé¹,

Meloni²

1993

Rev. For. Fr.

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La zone comprise entre les dixième et vingtième parallèles est fortement soumise aux cyclones. En dehors de cette zone, la destruction massive par le vent est rare (Whitmore et Hadley, 1990). Au sein de cette ceinture cyclonique, les facteurs écologiques et microclimatiques ainsi que la végétation relèvent en partie de l'influence du vent. Les forêts soumises aux cyclones se distinguent alors à la fois par leur composition floristique et par leur structure (Longman et Jenik, 1974). Par exemple, Shaw (1983) cite le cas d'une forêt dont la structure complexe résulterait de l'influence des accidents climatiques passés et présents ; la mosaïque d'âges et d'espèces qui compose cette forêt provient, pour l'auteur, de la succession de cyclones sévères. La Guadeloupe (16° de latitude Nord) se situe au coeur de cette ceinture cyclonique. Les perturbations aussi violentes que celle subie en septembre 1989 (cyclone Hugo) ont, dans les Antilles françaises, une durée de retour de l'ordre du siècle (Météo France, 1990). Dans la nuit du 16 au 17 septembre 1989, Hugo a traversé la partie Nord de la Guadeloupe. D'une rare violence, cet ouragan a dévasté la Grande Terre ainsi que le Nord de la Basse Terre (figure 1, p. 28). Vents moyens maximaux 270 km/h Rafales maximales 320 km/h Précipitations 150 à 300 mm (du 16-09 â 16 heures au 18-09 â 8 heures). Pressions minimales 941,4 hPa Marée de tempête 3 m

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Coup d'oeil sur quarante années d'action forestière en Martinique et aux Antilles françaises

Chapuis¹

1993

Rev. For. Fr.

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C'est en 1959 dans son numéro 11 et en 1956 (n° 6) (1) que la Revue forestière française ouvrait ses colonnes aux forestiers des nouveaux départements d'Outre-Mer des Antilles. Depuis, son intérêt ne s ' est jamais démenti vis-à-vis des efforts qu'ils y poursuivaient, leur apportant l'audience et les encouragements de ses lecteurs. Certes, la foresterie métropolitaine n'arrivait pas en terre vierge en prenant le relais de l'Administration forestière d'Outre-Mer en Guadeloupe et en Guyane et, grâce au Centre technique forestier tropical, son personnel y a toujours gardé un intérêt vivace fréquemment commenté dans la revue Bois et Forêts des Tropiques. Le cas de la Martinique était particulier. Son service forestier, organisé en 1903 sous le contrôle des Ponts et Chaussées, supprimé en 1909, mais rétabli deux ans après dans la dépendance de la Direction de l'Agriculture, devait devenir autonome par la loi du 16 mars 1922 qui établissait un Code forestier aux Antilles françaises. Il restait toutefois sous la main de cette Direction jusqu'en 1947, au moment où l'ancienne colonie prenait rang de jeune département d'Outre-Mer. La Conservation des Antilles établie à Basse-Terre en Guadeloupe englobait alors en son sein les inspections de la Martinique et de la Guadeloupe. Plus que tout autre, le Service forestier de la Martinique est un pur produit du terroir, issu des campagnes martiniquaises.

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Régénération naturelle et sylviculture. Propositions pour la forêt guadeloupéenne

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Hurricane damage and forest structure in Guadeloupe, French West Indies

Hurricane damage and forest structure in Guadeloupe, French West Indies

Impact du cyclone Hugo sur les peuplements de forêt dense humide à la Guadeloupe

Coup d'oeil sur quarante années d'action forestière en Martinique et aux Antilles françaises

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