Precautionary Saving in the Small and in the Large

Abstract

The theory of precautionary saving is shown in this paper to be isomorphic to the Arrow-Pratt theory of risk aversion, making possible the application of a large body of knowledge about risk aversion to precautionary saving, and more generally, to the theory of optimal choice under risk. In particular, a measure of the strength of precautionary saving motive analogous to the Arrow-Pratt measure of risk aversion is used to establish a number of new propositions about precautionary saving, and to give a new interpretation of the Oreze-Modigliani substitution effect.

Épargne de précaution et revenu de travail incertain : un survol de la littérature

“…Une mesure alternative de l'épargne de précaution est la richesse additionnelle nécessaire afin de soutenir le niveau de consommation obtenu à partir du modèle HRP-ÉC (Kimball, 1990a).…”

“…Une prudence absolue non croissante implique que la notion de prudence s'applique non seulement aux risques imposés dans un monde déterministe, mais aussi aux risques ajoutés dans un environnement composé de risques indé-pendants (Kimball, 1990a). Aussi, une prudence absolue non croissante combinée à une aversion absolue au risque non croissante engendre une aversion standard au risque (Kimball, 1991).…”

“…Cet effet est mesuré par la propension marginale à consommer par rapport à la richesse totale anticipée (PMC W ). Or, la PMC^ induite par le modèle HRP-ÉP avec prudence absolue constante (î| a '(C r ) = O) est semblable à celle qui est engendrée par le modèle HRP-ÉC (Kimball, 1990a). Pour la fonction d'utilité exponentielle, ceci peut être vérifié à partir de l'équation (6).…”

“…L'augmentation de l'épargne de précaution suite à une hausse de l'aversion absolue au risque est en accord avec le résultat analytique développé par Drèze et Modigliani (1972) et Kimball (1990a. Ces auteurs ont montré que, lorsque la prime au risque n'augmente pas suite à une hausse de la richesse, les motifs d'épargne de précaution sont au moins aussi importants que les effets d'aversion au risque.…”

The simple arithmetic of carbon pricing and stranded assets

“…The fourth term in (1) is the SDR and corresponds to the prudence effect, which is large if the variance of expected future consumption growth, denoted by σ 2 , the coefficient of relative risk aversion, RRA, and the coefficient of relative prudence, denoted by PRU (which is equal to 1+IIA for power utility functions and for Epstein-Zin preferences), are high (cf. Kimball 1990). It pushes down the SDR and will make climate policy more ambitious.…”