“…Au sein d'une consultation conjointe, plus question par exemple que le « psy » « retienne l'information sous couvert de confidentialité, utilise un langage ésotérique, travaille de façon individualiste sans réelle participation au travail pluridisciplinaire (au cours, par exemple, de réunions et de temps d'échanges communs) ni intégration au niveau des équipes, ait une vision exclusivement ''psy'' sans prise en compte de la dimension somatique, évite de s'impliquer du fait de son manque d'intérêt et/ou de compétence pour la prise en charge de la douleur [4] », comme il le lui est régulièrement reproché par nombre de somaticiens.…”