“…Ainsi, être un garçon, être jeune (Auger et al, 2010 ;Griffiths, 2011 ;Ladouceur, Jacques, Chevalier, Sévigny, & Hamel, 2005 ;Welte, Barnes, Wieczorek, & Tidwell, 2004), avoir complété un niveau scolaire primaire ou secondaire, avoir des difficultés scolaires (Griffiths, 2011 ;Johansson, Grant, Kim, Odlaug, & Gotestam, 2009 ;Winters, Stinchfield, & Fulkerson, 1993) et avoir facilement accès au jeu (Chevalier, 2003) sont des facteurs de risque bien documentés. Pour leur part, les caractéristiques personnelles associées à la présence de problèmes de jeu sont l'impulsivité (Auger et al, 2010 ;Barnes, Welte, Hoffman, & Dintcheff, 2005 ;Dussault, Brendgen, Vitaro, Wanner, & Tremblay, 2011 ;Vitaro, Ferland, Jacques, & Ladouceur, 1998), la recherche de sensations fortes (Blanco, Orensanz-Munoz, & Blanco-Jerez, 1996 ;Petry, 2001), la consommation de drogues, d'alcool et de cigarettes (Barnes et al, 2005 ;Griffiths, 2011 ;Vitaro et al, 1998 ;Welte et al, 2004), la commission d'actes illégaux, la délin-quance (Griffiths, 2011 ; ainsi que la faible estime de soi (Griffiths, 2011).…”