Obesity management: attitudes and practices of French general practitioners in a region of France

Abstract

There remains considerable opportunity to improve GPs' practice in obesity management. Medical education, increased cooperation with dietitians, improved long-term follow-up, and implementing better use of the available documents are key issues.

Stigma and Knowledge as Determinants of Recommendation and Referral Behavior of General Practitioners and Internists

“…Many physicians still believe that obesity is controllable, self-inflicted and the patients themselves are responsible for it; hence, weight could easily be reduced by dieting and exercise instead of concentrating on the benefits of WLS [18,28,29]. Again, there are calls to move away from making unsuccessful pre-operation dieting a prerequisite for candidacy for surgery [27], but rather to make a decision for or against surgery based on the patients' weight history and well-being.…”

French pediatricians’ knowledge, attitudes, beliefs towards and practices in the management of weight problems in children

“…This issue has not yet been extensively studied in Europe, especially in France. Only two studies were published on French general practitioners' (GPs) knowledge, attitudes towards and practices in managing obesity in adults [29,30]. The study by Bocquier et al also focused on children [29]; they both concluded that a considerable opportunity to improve GPs' practice in obesity management was remaining.…”

Les moyens mis en œuvre pour perdre du poids chez 1000 sujets en surpoids ou obèses

“…La prescription la plus fréquente est celle d'un régime dans près de neuf cas sur dix. Une étude a été réalisée récemment auprès de 607 médecins généralistes français, afin de déterminer leur approche de la prise en charge du SP et de l'obésité [11]. Elle a montré que 70 % des médecins qui ont répondu (n = 299) considéraient que la prise en charge des désordres alimentaires est très importante.…”

“…Elle a montré que 70 % des médecins qui ont répondu (n = 299) considéraient que la prise en charge des désordres alimentaires est très importante. La prescription d'un « coupe-faim » ou d'un autre médicament représente au total 37 % des prescriptions dans notre étude, résultat qui semble très proche de l'opinion des médecins généralistes, rapportée dans l'étude de Thuan et Avignon [11] : ceux-ci sont 34 % à être d'accord avec l'efficacité des médicaments pour traiter l'obésité. La prescription d'orlistat est également plus fréquente que celle de la sibutramine dans l'étude de Thuan et Avignon [11].…”

“…Certes, les personnes ayant déjà consulté un médecin en ont plus souvent la possibilité que les autres, mais l'opinion des médecins généralistes français semble actuellement défavorable, comme le suggère le travail de Thuan et Avignon [11] : seul un tiers d'entre eux considère que les médicaments actuellement disponibles sont efficaces. Dans notre étude, les sujets OB connaissent plus souvent l'existence de tels médicaments que les sujets en SP.…”