2017
DOI: 10.21471/jls.v2i1.155
|View full text |Cite
|
Sign up to set email alerts
|

O 'princípio esperança' no novo cinema português

Abstract: Film scholars and historians mostly agree that Novo Cinema films made during the Portuguese dictatorship are fatalistic and not particularly political. However, using Ernst Bloch's "principle of hope," I argue in this essay that some of these films do in fact search for a hopeful future or change for Portuguese society. To prove my point I will first engage with the historical context and scholarly discussions of Novo Cinema before moving on to examine its key features films. Through a discussion of their main… Show more

Help me understand this report

Search citation statements

Order By: Relevance

Paper Sections

Select...

Citation Types

0
0
0
1

Year Published

2021
2021
2021
2021

Publication Types

Select...
1

Relationship

0
1

Authors

Journals

citations
Cited by 1 publication
(1 citation statement)
references
References 0 publications
0
0
0
1
Order By: Relevance
“…Globalement, dans l'histoire du cinéma portugais, peu de réalisateurs sont parvenus à pointer les contradictions et les ambivalences de cette époque ou celles du modèle colonial dans leurs films, y compris dans le Cinema novo 13 -à l'exception de Mudar de vida (Paulo Rocha, 1967), Brandos Costumes (Alberto Seixas Santos, 1975) ou O mal amado (Fernando Matos Silva, 1972Silva, -1974. Par ailleurs, la censure a empêché, ou retardé, la sortie d'un certain nombre de films qui traitaient de façon plus ou moins directe de la question coloniale : on peut citer, entre autres, Grande, grande era a cidade de Rogério Ceitil (1972) ; Sofia e a educação sexual d'Eduardo Geada (1974) et Índia d 'António Faria (1972-1975.…”
unclassified
“…Globalement, dans l'histoire du cinéma portugais, peu de réalisateurs sont parvenus à pointer les contradictions et les ambivalences de cette époque ou celles du modèle colonial dans leurs films, y compris dans le Cinema novo 13 -à l'exception de Mudar de vida (Paulo Rocha, 1967), Brandos Costumes (Alberto Seixas Santos, 1975) ou O mal amado (Fernando Matos Silva, 1972Silva, -1974. Par ailleurs, la censure a empêché, ou retardé, la sortie d'un certain nombre de films qui traitaient de façon plus ou moins directe de la question coloniale : on peut citer, entre autres, Grande, grande era a cidade de Rogério Ceitil (1972) ; Sofia e a educação sexual d'Eduardo Geada (1974) et Índia d 'António Faria (1972-1975.…”
unclassified