Dans le contexte de l’effervescence mariale des années 1950, Adèle Levasseur, une soeur grise de Regina, propose une nouvelle dévotion dédiée à Marie, Reine des infirmières. Les communautés émotionnelles associées au réseau des institutions de la congrégation ont permis une diffusion rapide de la dévotion, notamment grâce à différentes stratégies de communication, le développement d’une iconographie dévote et la promotion d’un vocabulaire précis des émotions. Néanmoins, le contexte changeant de l’époque et le décès prématuré de sa zélatrice en limiteront les effets.