1969
DOI: 10.1136/sti.45.4.274
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Mycoplasmas and "non-specific" genital infection. II. Clinical aspects.

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“…Il faut souligner que la conjonctivite, absente chez notre patient, paraît en réalité faire défaut dans environ la moitié des cas décrits [4][5][6][7][8] ainsi d'ailleurs que les lésions cutanées anciennement dénommées «keratodermia blennorrhagica» [3], En Grande-Bretagne, le syndrome de Reiter atteint surtout des hommes jeunes, sous la forme d'une urétrite non gonococcique accompa gnée de polyarthrite et occasionnellement de conjonctivite ou de lésions cutanéo-muqueuses. Ce syndrome vient compliquer environ 1% de tous les cas d'urétrites non gonococciques recensés [10].…”
Section: Discussionunclassified
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“…Il faut souligner que la conjonctivite, absente chez notre patient, paraît en réalité faire défaut dans environ la moitié des cas décrits [4][5][6][7][8] ainsi d'ailleurs que les lésions cutanées anciennement dénommées «keratodermia blennorrhagica» [3], En Grande-Bretagne, le syndrome de Reiter atteint surtout des hommes jeunes, sous la forme d'une urétrite non gonococcique accompa gnée de polyarthrite et occasionnellement de conjonctivite ou de lésions cutanéo-muqueuses. Ce syndrome vient compliquer environ 1% de tous les cas d'urétrites non gonococciques recensés [10].…”
Section: Discussionunclassified
“…Mycoplasma hominis et U. urealyticum (mycoplasme T) ont pu être isolés avec la même fréquence chez les patients atteints seulement d'urétrite non spécifique (c'est-à-dire où une étiologie gonococcique, bactérienne, à trichomonas ou à levures a pu être exclue) que chez ceux qui développent un syndrome de Reiter; de plus, les souches T de mycoplasmes isolées chez les patients atteints de Reiter sont sérologiquement identiques à celles isolées dans les cas d'urétrites non spécifiques. En outre, les relations entre ces mêmes micro-organismes et la survenue d'une urétrite non spécifique sont elles-mêmes controversées [5,12,16], notamment parce que des mycoplasmes T ont pu être isolés dans l'urètre de nombreux individus sains [2], Toutefois, devant la réponse thérapeutique favorable aux tétracyclines de la plupart des urétrites non spécifiques avec disparition de l'Ureaplasma de l'urétre [11], il semble probable, comme le pense Hussey [9], que ces organismes puissent être pathogènes «au moins pour certaines personnes et dans certaines conditions».…”
Section: Discussionunclassified
“…Several studies in mycoplasmas have suffered because of the difficulty in obtaining suitable controls [7]. We also faced similar problem in getting the seminal fluids of normal fertile males as ·control.…”
Section: Resultsmentioning
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“…Most of the earlier studies were concerned with Mycoplasma hominis, but it now appears that this species is a normal inhabitant of the male urethra and not a cause of NGU (Taylor-Robinson, Addey, Hare, Jones, and Dunlop, 1969). Shepard (1954) described a new member of the genus Mycoplasma which he called T-strain, and which he suggested might be associated aetiologically with NGU (Shepard, 1954(Shepard, , 1960.…”
mentioning
confidence: 99%