Model of Co-Development Emerges

Deck, Mark J.; Strom, Mark

doi:10.1080/08956308.2002.11671500

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“…This body of research is concerned with how firms purposefully develop and co-ordinate a wide range of network partners to bring about innovation. Deck and Stron (2002) additionally suggest that third party integration in co-development necessitates recognising and understanding the value chain firms operate in. This involves determining how other firms can add value and purposefully identifying, selecting and evaluating partnerships with firms that are capable of furthering the development process.…”

Section: Specifying Roles and Activities Among Development Partnersmentioning

confidence: 98%

“…Whilst the traditional benefits of cost-cutting and speed to market have been well-documented (Bruce, Leverick, & Littler, 1995;Gugler, 1992) for incremental developments, longer term and more strategic advantages have more recently been highlighted for radical innovations. These include valueadded solutions (Deck & Stron, 2002), new market ideas, technological solutions and opportunity scanning, information about user requirements (Johnsen & Ford, 2000) and worldwide reach (Powell, Koput, Smith-Doer, & OwenSmith, 1999).…”

Section: Introductionmentioning

confidence: 98%

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Specifying and synchronising partner activities in the dispersed product development process

Perks

2005

Industrial Marketing Management

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Section: Specifying Roles and Activities Among Development Partnersmentioning

confidence: 98%

Section: Introductionmentioning

confidence: 98%

Specifying and synchronising partner activities in the dispersed product development process

Perks

2005

Industrial Marketing Management

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“…Pour penser davantage la dimension réticulaire en termes stratégiques, Chesbrough (2003) propose le concept d'« open innovation », où la dynamique de l'innovation « ouverte » est bidirectionnelle : « L'innovation ouverte signifie que les idées valables peuvent provenir de l'intérieur ou de l'extérieur de l'entreprise et peuvent également être commercialisées depuis l'entreprise ou à l'extérieur de l'entreprise » (Chesbrough, 2003, p. 43 ; notre traduction). Dans la foulée de Pisano (1994), Powell (1998) (Hamdouch et Depret, 2000, 2004Baumol, 2002 ;Baum, Calabrese et Silverman, 2000), ou de codéveloppement (Deck et Strom, 2002) -, la création de valeur repose sur une nouvelle rationalité stratégique de recherche et développement. Concrètement, partant de savoirs limités du fait de l'explosion des connaissances, une entreprise organise ses capacités de R-D non seulement pour mieux connaître, comprendre, sélectionner et capter la richesse des savoirs externes (Leonard-Barton, 1984 ;Cohen et Levinthal, 1990), mais tout autant pour introduire les pièces manquantes et complémentaires (Powell, 1998 ;Arora et Gambardella, 1990) afin de créer de nouveaux systèmes technologiques inimitables (Teece, 1998) ou encore des sources additionnelles de revenus et de profits tirés de la vente à tout moment d'extrants de recherche à d'autres firmes les utilisant dans leurs propres systèmes (Chesbrough, 2003, p. 53 ;Andrew et Sirkin, 2003, p. 5 2.…”

Section: Vers Un Modèle D'affaires « Ouvert » (Open Business Model)unclassified

Les TPE de biotechnologie sont-elles contre nature ?

Desmarteau

Saives

2012

ipme

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Cet article fait écho aux recherches qui s’interrogent sur la pertinence d’une réflexion renouvelée de la spécificité contingente de la PME comme objet d’analyse. Partant d’un constat empirique éloquent sur le terrain des firmes de biotechnologie au Québec (Canada) – à savoir que la plupart des firmes y sont des TPE de moins de 10 ans d’existence –, cet article tente de répondre à la question de recherche suivante : les TPE de biotechnologie constituent-elles une espèce à part et / ou sont-elles singulières en leur genre, similaire à celui de très petites entreprises de type « organisées » évoqué par Marchesnay (2003) ? Ce texte comprend trois parties. Un cadre théorique est d’abord proposé pour définir les TPE par « ce qu’elles font », partant notamment d’une revue de littérature sur les critères contemporains de définition des petites entreprises et sur le concept de modèle d’affaires. Dans un deuxième temps, il fait état de la méthodologie d’analyse multifactorielle et classificatoire adoptée pour observer dans une perspective inductive les différents comportements des très petites entreprises de la grappe bio-industrielle du Québec avant de proposer, dans un dernier temps, une grille de lecture de leur spécificité contingente. Il propose une validation empirique de la spécificité des TPE « organisées » de « classe mondiale » et des propos de Torrès (1997) sur l’expression d’un phénomène de dénaturation porteur de sens en ajoutant des dimensions ignorées au continuum des critères existants pour définir la TPE. Pour mettre en relief la diversité dans cette spécificité, il montre que l’utilisation des cinq dimensions d’un modèle d’affaires à l’ère de l’innovation sans frontières se révèle efficace au plan méthodologique en découvrant quatre portraits de TPE de biotechnologie : découvreurs, outilleurs, fournisseurs spécialisés et fournisseurs génériques de produits et de services biotechnologiques. Cette étude empirique établirait donc que les TPE de biotechnologie constituent des formes de TPE à la fois spécifiques (relativement à l’espèce) et spéciales (singulières et particulières dans leur genre, soit celui de la TPE organisée).

show abstract

“…With the rapidly changing environment and the advent of global competition, more brand owners now collaborate with other suppliers to develop a new product to shorten the time-to-market (Maloni and Benton 1997, Deck and Strom 2002, Chu and Cheng 2005. Wang and Lin (2006) refer to a Sony Ericsson example to show that the brand owner needs to be a system integrator to choose the right partners.…”

Section: Introductionmentioning

confidence: 99%

Partner selection model for design chain collaboration

Chen

Chiang

Guo

2013

International Journal of Production Research

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Due to increasing global competition and shorter new product life cycles, brand owners collaborate more often with design chain partners to bring a new product to market. This paper proposes a design partner selection model to minimise the overall design chain cost, taking into account communication cost, time-tomarket, and quality. The model can be formulated as a stagecoach problem. Next, a dynamic programming algorithm is developed for this model to select the optimal partners through the design chain. Finally, a numerical example and a sensitivity analysis are presented. The results also reveal that design quality and manufacturing quality positively influence the total cost, and when brand owners need to speed up timeto-market to keep up with a competitor, the design quality will become less important.

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Model of Co-Development Emerges

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Specifying and synchronising partner activities in the dispersed product development process

Specifying and synchronising partner activities in the dispersed product development process

Les TPE de biotechnologie sont-elles contre nature ?

Partner selection model for design chain collaboration

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