1998
DOI: 10.1007/s004150050281
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Metastasis of carcinoma to skeletal muscle leading to myosclerosis and progressive contractures

Abstract: Sirs: Skeletal muscle is one of the most unusual sites of metastasis from any malignancy, although it comprises a large part of the body and receives abundant blood supply. Only a few cases of macroscopic muscle metastasis have been described in the literature. Here we report a patient with extensive myosclerosis and rapidly progressive contractures owing to metastatic infiltration of skeletal muscle.A 61-year-old man presented with a 1-month history of rapidly evolving, painful restriction of mobility of his … Show more

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“…Les mé tastases les plus douloureuses sont celles des muscles des membres supé rieurs (69,4 % des cas) et surtout infé rieurs (dans 72,9 % des cas) ; la musculature axiale n'apparaît douloureuse que dans la moitié des cas, alors que 62,9 % des mé tastases des muscles de l'extré mité cé phalique sont indolores. Des contractures sont rarement dé crites (Hazeltine et al, 1990 ;Klopstock et al, 1998). Quelques pré sentations exceptionnelles ont é té rapporté es : « pseudotrismus » (notre observation), strabisme divergent (Arnold et al, 1989), tableau mimant un syndrome de Brown (Slaving et Goodstein, 1987), exophtalmie (Horner, 1864 ; Burgueñ o Montañ é s et Ló pez Roger, 2002), « hypertrophie musculaire douloureuse » de la ceinture pelvienne (Bré nuchon et al, 2004 ;Grasland et al, 2006), tableau « pseudomyopathique » (Doshi et Fowler, 1983), lumbago (Le Gangneux et al, 1994) ou sciatalgie (Lam et al, 1993), « pseudoangine » (Grace et al, 1984), voire des manifestations « pseudophlé bitiques » (Toillon et al, 1994).…”
Section: Organeunclassified
“…Les mé tastases les plus douloureuses sont celles des muscles des membres supé rieurs (69,4 % des cas) et surtout infé rieurs (dans 72,9 % des cas) ; la musculature axiale n'apparaît douloureuse que dans la moitié des cas, alors que 62,9 % des mé tastases des muscles de l'extré mité cé phalique sont indolores. Des contractures sont rarement dé crites (Hazeltine et al, 1990 ;Klopstock et al, 1998). Quelques pré sentations exceptionnelles ont é té rapporté es : « pseudotrismus » (notre observation), strabisme divergent (Arnold et al, 1989), tableau mimant un syndrome de Brown (Slaving et Goodstein, 1987), exophtalmie (Horner, 1864 ; Burgueñ o Montañ é s et Ló pez Roger, 2002), « hypertrophie musculaire douloureuse » de la ceinture pelvienne (Bré nuchon et al, 2004 ;Grasland et al, 2006), tableau « pseudomyopathique » (Doshi et Fowler, 1983), lumbago (Le Gangneux et al, 1994) ou sciatalgie (Lam et al, 1993), « pseudoangine » (Grace et al, 1984), voire des manifestations « pseudophlé bitiques » (Toillon et al, 1994).…”
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