Mental health problems and natural disaster: Tornado victims

Abstract

Twenty‐six tornado victims were interviewed to determine the mental health consequences of a natural disaster. The results, based on retrospective accounts, indicated that approximately three‐fourths of the victims suffered increased psychological discomfort of a subjective nature five months later. This discomfort was characterized by anxiety, nervousness, and mild somatic complaints. Disruptions in interpersonal relationships among family members were less frequently reported. The disaster did not produce severe emotional impairment and few of the victims felt the need for professional mental health assistance.

Health Status of Military Women in the Total Force.

“…In a population-based study of active-duty Navy and Marine Corps personnel, the lifetime and current prevalence rates of PTSD (i.e., 12% and 6%, respectively) were found to be 4 times higher among women than men . Individuals exposed to traumatic events often have psychiatric disorders other than PTSD, including general psychological distress (McDonnell et al, 1995) or emotional/behavioral disturbances (e.g., Ollendick & Hoffman, 1982;Penick, Powell & Sieck, 1976). They also may experience marital, social, occupational, financial, and health problems (Solomon & Davidson, 1997).…”

Désastres et sinistrés

“…Ainsi, à la suite d'une inondation, les adultes se percevaient significativement plus déprimés et stressés (Ollendick et Hoffmann, 1982). Dans une étude se rapportant à une tornade, 25% des répondants ont mentionné que les membres de leur famille vivaient de la [94] tension à la suite du désastre (Penick et al, 1976). De plus, 75% des personnes ont rapporté une augmentation de détresse subjective associée à la tension, la nervosité, l'anxiété et les plaintes somatiques (idem).…”

“…ont également été remarqués. Burke et al, (1982) ont aussi souligné l'apparition et la persistance de problèmes comportementaux pouvant perdurer jusqu'à cinq mois après une catastrophe 35 et Penick et al (1976) ont également évoqué que des effets pervers à la suite d'un désastre pouvaient être décelés jusqu'à quatre ans après un désastre naturel. Gordon et Wraith 36 (1993) décrivent quant à eux les différents symptômes pouvant être éprouvés à court (immédiatement et pendant les premières semaines), à moyen (des premières semaines à un an) et à long terme (pendant la seconde année et au-delà) par les enfants et les adolescents à la suite d'un désastre.…”

“…Des dommages importants à la propriété et des pertes personnelles considérables ont aussi été associés à des niveaux de stress plus élevés chez des victimes, comparativement à celles qui avaient vécu le même événement mais sans pertes (Tobin et Ollenburger, 1994). Les pertes financières occasionnées par le désastre ont aussi été mentionnées comme le plus pressant problème chez des victimes d'une tornade (Penick et al, 1976). Bland et al (1996) ont également réalisé une étude longitudinale auprès de travailleurs en usine résidant dans une région sujette aux tremblements de terre.…”

“…Retour à la table des matières Alors que, pour certains, l'expérience d'un désastre peut être vue comme une crise de la vie dans son ensemble et ne pas être liée directement à une incapacité fonctionnelle (Penick et al, 1976), d'autres intégreront plus difficilement l'expérimentation du désastre et adopteront diverses stratégies d'adaptation. Certaines personnes essaieront, par exemple, de s'adapter en niant leur bouleversement (North et al, 1989) ou les symptômes ressentis (Glenn, 1979 ;Lima et al, 1989 ;Myers, 1999 ;Titchener et Kapp, 1976).…”