Médecine nucléaire et imagerie multimodalités des tumeurs endocrines

Primary hepatic origin of a neuroendocrine tumor: A rare case report

“…The specific markers are chromogranin A, NSE and synaptophysin [ 7 , 10 , 11 ]. The best radiological exam for the detection of neuroendocrine tumors is Octreoscan provided that the tumor expresses somatostatin receptor subtype 2 with a sensitivity of 75–95% [ 8 , 11 , 12 ]. The gold-standard treatment is, as for any digestive neuroendocrine tumor, surgical resection or hepatectomy, which is the most common treatment, with a 5-year survival rate 74%–78%.…”

Syndrome de Cushing paranéoplasique : intérêt de la scintigraphie des récepteurs de la somatostatine

“…Par ailleurs, lorsque la tumeur est inextirpable, on peut utiliser l'octréotide comme traitement symptomatique. La scintigraphie à l'octréotide marqué aurait alors dans ce cas une valeur pronostique [2,5,13,14,18,19].…”

“…Les appareils hybrides TEMP/TDM permettent, d'une part, par la fusion des images tomoscintigraphiques et tomodensitomé-triques une meilleure localisation des foyers de fixation et, d'autre part, par la correction de l'atténuation des photons gamma, permise et facilitée par la TDM, d'augmenter le contraste lésionnel au sein de l'image [10,12,[15][16][17][18][20][21][22][23]. L'information anatomique additionnelle de la TEMP/TDM modifiait l'interprétation de la TEMP, affectant ainsi la prise en charge des patients.…”

“…Ainsi, le choix du radiotraceur TEP dépend du type de la tumeur endocrine [4,5,10,[13][14][15][16]21,23,24]. Cependant, leur faible disponibilité actuelle permet à la scintigraphie des récepteurs de la somatostatine, examen performant, fiable et accessible, de garder sa place au sein du bilan d'imagerie de première intention [13,18].…”