“…Les thèmes de l'international et des circulations étudiantes ont pourtant donné lieu à diverses recherches chez les historiens, notamment sur les rapports entre les associations étudiantes québécoises et françaises (Lamarre, 2012), sur les congrès internationaux pendant la guerre froide (Neatby, 1997), sur l'action internationale d'organisations chrétiennes comme Pax Romana (Savard, 1992;Bienvenue, 2003), sur l'influence culturelle d'autres pays (Warren, 2008), sur les relations entre anglophones et francophones (Godard, 2009), ou sur la militance autour de problèmes spécifiques tels que la ségrégation raciale (Waters, 2014). Compte tenu de cet intérêt, il est étonnant que les étudiants étrangers soient demeurés absents de l'historiographie.…”