“…Lorsque les institutions entrent en relation, pour l'obtention d'un événementiel sportif, elles entrent dans une relation où le pouvoir de l'un doit être supérieur à l'autre afin qu'une solution se dégage (Wolfe, Meenaghan et O'Sullivan, 1997). Les droits de propriété de ces manifestations mondiales appartiennent aux instances internationales (Nys 2000), qui, lors de la cérémonie d'attribution, transfèrent ce pouvoir de propriété, ainsi que l'obligation d'organisation, au vainqueur de la campagne de candidature. Néanmoins, la position d'organisatrice place l'organisation victorieuse dans une situation de soumission par rapport à l'institution internationale (Fink, Pastore et Riemer, 2001).…”